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29 juin 2013 6 29 /06 /juin /2013 19:41

coquelicots 002

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les coquelicots, ces petites taches rouges éparses au milieu de la verdeur habituelle, ont inspiré les peintres. Les impressionnistes surtout. Claude Monet en tête. En 1873, l’artiste peint Champ de coquelicot. Cherchant à rendre la lumière naturelle avec le plus de fidélité, la fleur lui permet d’utiliser l’une des trois couleurs primaires, le rouge. Celui-ci contrastant le plus souvent avec le bleu, le bleu du ciel. Une couleur chaude en opposition avec une couleur froide, le haut du tableau avec le bas … Entre effet de composition et gamme de couleurs, le coquelicot est un in

strument commode à disposition du peintre paysagiste.


Mais s’il fait l’unanimité chez les artistes, le coquelicot est beaucoup moins apprécié des agriculteurs. La graine du coquelicot se mêle en effet aux grains de céréales récoltés au moment des moissons. C’est que la fleur rouge est difficile à éliminer avec les herbicides classiques. C’est la raison pour laquelle le coquelicot est aussi au cœur de l’horizon du promeneur picard, de son paysage intime.

 

coquelicots 001

 

Il est à présent, intégré à l’univers culturel des Britanniques. « Au champ d’honneur, les coquelicots sont parsemés de lot en lot », dit le poète John McCrae, lieutenant-colonel et médecin du Corps de santé royal canadien, au printemps 1915. Car ces fleurs fleurissaient aussi sur les terribles champs de bataille de la Somme et des Flandres, leur couleur rouge rappelant le sang versé lors de la guerre de tranchées.


Le coquelicot est une plante annuelle d'apparence fragile, à l'image de sa tige très fine et velue, peu ramifiée, qui se révèle immanquablement dans les terrains fraîchement remués : les champs (plante jadis messicole mais les herbicides l'y ont chassé pour deux raisons principales : sa graine toxique peut se mêler aux grains de blé [réf. nécessaire] et elle concurrence directement la céréale), les bords de chemins ou les terrains vagues1. Elle devient souvent envahissante, et a envahi l'Europe centrale après les glaciations : c'est pourquoi elle entre dans le groupe des plantes hémérochores.


Lorsqu'on la coupe, elle laisse échapper un suc laiteux, comme les autres pavots.


Les feuilles, généralement sessiles et alternes, sont découpées en lobes étroits et dentés. Les fleurs comportent quatre pétales un peu froissés qui se recouvrent peu. Leurs nombreuses étamines ont des anthères noir bleuté. Les fruits (à ne pas confondre avec les fleurs en boutons) sont des capsules glabres contenant une grande quantité de graines, facilement disséminables par le vent.


Sont très proches du coquelicot et souvent confondues avec lui deux espèces de pavots, P. dubium, ou pavot douteux, aux fleurs plus claires, aux étamines jaunes et aux capsules glabres allongées, et P. hybridum (pavot hybride), dont les pétales sont foncés et surtout les capsules sont ovales, globuleuses et deux fois plus longues que larges, à poils raides jaunes et denses pour certains, étalés et arqués pour d'autres(les taches noires à la base des pétales ne sont pas caractéristiques du pavot hybride). Autre espèce voisine, P. argemone (Pavot argémone), de petite taille et dont les pétales ne se chevauchent pas.


Comme tous les pavots, le coquelicot a des effets narcotiques dus aux alcaloïdes qu'il contient. En phytothérapie, on utilise ses pétales séchés, dont on fait le plus souvent des tisanes. Ses effets apaisants se font sentir sur l'adulte, mais surtout sur les jeunes enfants (on mélangeait autrefois du coquelicot à la bouillie des enfants pour faciliter leur sommeil). Par ses propriétés émollientes, sédatives et béchiques, le coquelicot est un calmant de la toux et des irritations de la gorge. Il est alors utilisé sous forme de pastilles à sucer. Il existe un sirop de coquelicot.


Même si elles sont moins grosses que celles de certains pavots, les graines du coquelicot sont utilisées comme elles en pâtisserie ou pour confectionner des pains aromatisés.


Si l'on ne peut pas se passer de les cueillir pour en faire un bouquet, on empêche les fleurs de se faner dans la journée en prolongeant leur épanouissement par la cautérisation de la tige à l'endroit où elle a été coupée.


    Dans le langage des fleurs, le coquelicot incarnerait « l'ardeur fragile » [ mais surtout « la consolation » (cf. Louise Cortambert, Louis-Aimé Martin, Société belge de librairie, 1842 - page 231).


    Les noces de coquelicot symbolisent les 8 ans de mariage dans le folklore français.


    Le coquelicot a été associé au XXe siècle, en particulier dans les pays du Commonwealth (Royaume-Uni, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande…) au souvenir des combattants, et tout spécialement des soldats tombés lors de la Première Guerre mondiale, à l'instar du bleuet.


Cette allégorie du coquelicot découle d'un poème datant du printemps 1915, écrit par le lieutenant-colonel John McCrae, un médecin du Corps de santé royal canadien qui fut témoin de la terrible seconde bataille d'Ypres. Il s'intitule In Flanders Fields (Au champ d'honneur). En fait, les coquelicots fleurissaient dans les pires champs de Somme et des Flandres, et leur couleur rouge était un symbole approprié pour le bain de sang de la guerre de tranchées.


Une Française, Madame E. Guérin, proposa à l'époque au maréchal britannique Douglas Haig que les femmes et les enfants des régions dévastées de France produisent des coquelicots afin de recueillir des fonds pour venir en aide aux gueules cassées. En novembre 1921, les premiers coquelicots furent distribués. La tradition se poursuit depuis.


    Le coquelicot est le symbole de Morphée le dieu des rêves et du sommeil dans la mythologie gréco-latine


    Associé au bleuet et à la marguerite, il est l'emblème floral de la France.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 22:59

la picardie 006

Le fromage : le ROLLOT

 

Le Rollot ou Cœur de Rollot tient son nom de la commune de la Somme où se tenait le marché. Son histoire est liée à l'existence d'une très ancienne abbaye qui a aujourd'hui disparu, l'abbaye de Corbie. Le Rollot prend la forme d'un petit disque plat, de 7à, 8 cm de diamètre, de 3 à, 4 cm d'épaisseur et pèse entre 200 et 300 grammes.


Le  Rollot est affiné pendant six à huit semaines en cave humide avec lavages, Maintenant le Rollot est souvent moulé en forme de cœur, pour répondre a une demande qui se développe. Sa forme ronde semble être en voie de disparition. La croûte du Rollot est assez mince et luisante et son parfum assez développé.

 

ene tiote rectte de m'in coin :

 

Rollot de Picardie façon tarte tatin


Ingrédients

- 800 g d’endives

- 150 g de lardons

- 200 g de Rollot de Picardie

- 1 pâte brisée

- 60 g de beurre

- 60 g de farine

- 30 cl de lait demi-écrémé

- 4 cuillerées à soupe de noisettes concassées

- 100 g de vergeoise blonde

- 1 cuillerée à soupe de crème fraîche

- 1 noix de muscade - huile de colza - sel et poivre

 

La recetteNogozzr1003-1-.gif

 

Avant de commencer cette recette au Rollot de Picardie, laver, éponger et couper les endives en quarts, dans le sens de la longueur. Dans une poêle, faire revenir les endives dans une huile très chaude, jusqu’à ce qu’elles soient transparentes.

 

Saupoudrer les endives avec la vergeoise blonde et les faire colorer légèrement. Les réserver sur un papier absorbant.  Dans la même poêle, faire revenir les lardons jusqu’à transparence et réserver de même. Préchauffer le four à 220°C (th 7).

 

Dans une casserole, faire un roux blanc avec le beurre et la farine, y ajouter le Rollot de Picardie coupé en petits dés sans la croûte, le lait, les noisettes concassées, une cuillérée à soupe de crème fraîche, un peu de muscade râpée. Saler et poivrer.

 

Bien mélanger et laisser mijoter quelques minutes. Dans un moule à tarte, disposer les chicons en rosace, parsemer de lardons et verser l’appareil dessus. Recouvrir le tout de la pâte brisée en prenant soin de la faire pénétrer à l’intérieur du moule. Mettre la tourte au four et laisser cuire 25 à 30 min pour que la pâte soit bien dorée.

 

Démouler la tarte en la retournant sur un plat de service et servir tiède.

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19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 17:35

PICT0012.jpgLe contexte

En 1346, Edouard III entreprend une  3 éme Campagne ayant pour but de piller les provinces françaises proches de la Manche. C'est au cours de cette campagne qu'eut lieu la bataille de Crécy.

La bataille de Crécy se déroule à l'aube de la Guerre de Cent ans: elle en est l'un des premiers épisodes militaires. L'objectif est la prise de possession du trône de France. Cette situation de tension larvée, déjà esquissée dès 1316, éclate au grand jour à la mort de Charles IV en 1328. C'est la fin de la dynastie des Capétiens directs auxquels vont succéder les Valois. À partir de ce moment, les deux plus grandes monarchies d'Europe vont se disputer le trône de France durant un interminable conflit à forts rebondissements et multiples trêves.

Le 7 octobre 1337, à l'Abbaye de Westminster, le roi d'Angleterre Édouard III lance publiquement un défi à son cousin, le roi de France. Il conteste la légitimité de Philippe VI de Valois et revendique la couronne de France pour lui-même. C'est le début de la guerre de Cent Ans.

La première campagne d'Édouard III en 1339 passe relativement inaperçue. Il s'attire habilement le soutien des villes flamandes, grosses clientes des produits lainiers anglais. Une hégémonie anglaise au nord du royaume de France s'amorce.

En 1340, après avoir tenu sa cour à Gand et pris le titre de "roi d'Angleterre et de France", Édouard III, engage la seconde campagne sur terre et sur mer. Elle se solde par la défaite de la marine française lors de la bataille navale de l'Écluse.

La campagne

En 1346, Édouard III entreprend une campagne ayant pour but initial de prendre Paris.

Édouard III prépare un nouveau débarquement, qu'il ne sait encore où fixer. Son adversaire, le roi de France, lui épargne de trop longues hésitations en condamnant à l'exil un grand seigneur normand, Geoffroy d'Harcourt, sire de Saint-Sauveur-le-Vicomte, lequel va se réfugier à la cour d'Angleterre, offrant ainsi à Édouard III le prétexte idéal d'un libre accès en Cotentin.

Le 7 juillet, le roi d'Angleterre réunit 1 200 navires dans les rades de Portsmouth, Southampton et des ports de l'île de Wight et hisse les voiles.

Le 12 juillet, il débarque avec 40 000 hommes[1] à Saint-Vaast-la-Hougue et s'empare de la Normandie.

Surpris et terrorisés par les Anglais, les Normands ouvrent leurs villes dont les défenses n’auraient pu résister à un assaut. Après avoir saccagé et pillé le Cotentin, les troupes d’Édouard III assiègent et prennent Caen, pourtant bien défendue. La flotte qui les a suivis repart de Ouistreham vers l’Angleterre chargée d’un considérable butin.

Vers l'affrontement

Édouard III fait alors mouvement vers le nord pour rejoindre ses alliés flamands. Mais il doit d'abord franchir les obstacles naturels que constituent la Seine et la Somme.

Il tente de franchir la Seine par Rouen qui lui refuse le passage. Il se retire sans livrer bataille et s’installe à Poissy, le temps d’établir un pont sur la Seine qu’il franchit le 15 août.

Il faut maintenant faire très vite, Philippe VI de Valois rassemble des troupes de plus en plus nombreuses à Saint Denis et s’apprête à livrer bataille. Comme en Normandie, Édouard III sème la terreur et esquive, quand c’est possible, le combat frontal. Rien ne semble pouvoir l’arrêter. Mais il lui faut encore franchir la Somme. Édouard III, qui a vécu à Abbeville dont il est le suzerain, connaît bien la Somme et le peu de sympathie des communes picardes qui commandent les rives du fleuve, à l’égard des Anglais. Il s’installe donc à Airaines afin de repérer et de tester les passages possibles. À la différence des villes normandes, les villes de la Somme sont puissamment fortifiées et bien défendues. Elles paraissent imprenables. La situation devient critique. Le roi de France, à la tête d’une armée considérable, a rejoint Amiens et risque de le prendre comme dans une souricière entre le fleuve et la mer.

Il reste deux solutions : prendre Saint-Valery-sur-Somme pour rejoindre l’Angleterre par voie de mer ou trouver un passage non fortifié.

Devant l’échec de la prise de Saint-Valery-sur-Somme, il faut absolument trouver le gué dont Édouard III avait connaissance sans savoir où le situer. Or les Picards sont peu bavards. Il finit par promettre une récompense de cent « nobles », cent pièces d'or, à quiconque lui indiquera le gué. Un pauvre bougre de Mons-en-Vimeu, qui était prisonnier de l'armée d'Edouard et savait que personne ne paierait de rançon pour le libérer, saute sur l'occasion. Gobin Agache, c'est le nom de ce brave homme, indique donc au roi le passage de Blanquetaque, non loin de Noyelles-sur-Mer, entre Abbeville et Saint-Valery-sur-Somme, franchissable aux heures de basse mer. Gobin y gagne 100 pièces d'or et la liberté pour lui et ses compagnons d'infortune.

L’armée anglaise se lève à l’aube du 24 août et franchit le fleuve en bousculant facilement les quelques milliers d’hommes venus du nord pour protéger le passage.

Philippe VI de Valois, qui le poursuit, arrive au moment où le dernier anglais franchit le gué. La marée montante le cloue sur place. Édouard III reprend la main : il pourra désormais livrer la bataille sur son terrain.

La préparation de la bataille

Édouard III désire remonter vers la Canche, il franchit la Somme après une bataille au gué de Blanquetaque. Il y est accueilli par Catherine d’Artois, fille de Robert III d’Artois son ancien et fidèle compagnon. Puis il se dirige vers Rue, qu’il pille et brûle. Mais il doit bifurquer à l’est, freiné par la difficulté de traverser les bas-champs de l'Authie inondés à marée haute, et comprenant l’impossibilité de rejoindre facilement Montreuil dans cette région particulièrement pourvue en étangs et marais : zones impraticables à la soldatesque. A l’est, il contourne la forêt de Crécy, probablement par le sud, sa frange nord étant marécageuse. Il doit ainsi se rapprocher de l’armée française, dont il sait qu’elle est à Abbeville, avant de repartir vers le nord. Il sait aussi qu’il ne pourra pas conduire ses troupes à marche forcée.

Il ne peut donc plus éviter le combat et va devoir livrer bataille. Autant choisir l’avantage du terrain ! Le 25 au soir, il s’installe sur les hauteurs du plateau de Crécy en Ponthieu et envoie ses barons en reconnaissance. Le 26 au matin, il décide que c'est le bon endroit pour attendre les troupes françaises.

De son côté, Philippe VI de Valois sort d’Abbeville à la tête d’une impressionnante armée composée, selon Froissart, qui a toujours tendance à exagérer, de 20 000 armures à cheval et de plus de 100 000 hommes. Parmi ceux-ci, 6 000 mercenaires génois ou castillans conduits par Carlo Grimaldi et Otto Doria qui ont la réputation d’être à la fois les plus habiles arbalétriers et les meilleurs marins d’Europe. En outre Philippe VI de Valois a également appelé à la rescousse la fine fleur de la chevalerie non seulement française mais également européenne. On trouve dans les rangs français entre autres, Jean Ier de Luxembourg roi de Bohême, Charles IV fraîchement élu roi des Romains, Charles II de Valois duc d'Alençon et frère du roi.

Puis Philippe VI et sa considérable armée marchent vers l'ouest, arrivent à proximité du plateau, en vue des collines et petites vallées entre Crécy au sud et Vadincourt au nord, par la route basse. Il est trois heures de l'après-midi lorsqu'un orage éclate, rendant le terrain glissant.

Les forces en présence

Il est très difficile de donner un état précis des forces en présence, tant les différentes sources sont contradictoires.

L'armée anglaise est formée en 3 « batailles », 2 forment la première ligne (le Prince Noir et les comtes de Northampton et d'Arundel). Édouard III commande la troisième « bataille » qui formera la seconde ligne. L'ensemble comprend de 8 000 à 12 000 hommes, dont environ 3/4 d'archers. La première ligne est parfaitement positionnée derrière des rangées de pieux où viendront s'empaler les chevaliers français. Les chevaliers anglais sont prêts à contre attaquer si besoin.

L'armée française, beaucoup plus nombreuse, de 24 000 à 50 000 hommes, est organisée sur 3 lignes. Au-devant on trouve les arbalétriers génois, ainsi que 2 lignes de chevaliers. Le reste est composé de troupes à pied qui occupent l'arrière et les côtés. L'armée française n'a aucune tactique pour la bataille et arrive en fin de journée de manière confuse devant la position anglaise.

Les historiens anglais de la Belle Époque estimaient l'effectif anglais à 30 000 hommes, surplombant environ par leur position une armée turbulente d'environ 100 000 hommes menée par Philippe de Valois. Aujourd'hui une majorité d'historiens s'accordent sur les estimations d'effectifs de combattants suivant: 50 000 hommes pour les troupes menées par Philippe de Valois, 20 000 hommes pour l'armée anglaise.

La bataille

L'après-midi du 26 août, l'armée française débouche de la route d’Abbeville en désordre. Il est trois heures de l'après-midi et un orage qui menaçait depuis quelque temps éclate. Mais les soldats surexcités par l'approche, impatients d'en finir se ruent vers les hauteurs où stationnent les Anglais prudents.

Le roi Philippe VI ne parvient pas à faire appliquer son ordre de reporter le combat au lendemain. Les premiers escadrons reçoivent l'ordre de Philippe VI et s'arrêtent à temps. Et c'est alors que la bataille tourne à la confusion. Les escadrons suivants voient les autres soldats stoppés, et, s'enthousiasmant, ils se mettent à crier et à accélérer la cadence pour arriver les premiers devant les Anglais. Personne n'entend les ordres répétés du roi de France, et les soldats à l'arrêt sont entraînés par les autres dans une sorte de folie générale. Philippe VI lui-même, gagné par la contagion de démence, pointe son épée en l'air et hurle : « Je vois mon ennemi, et par mon âme, je veux l'affronter ! ».

Philippe VI envoie alors les arbalétriers génois entamer le combat mais leurs armes ont souffert de la pluie : les cordes en cheveux sont humides et perdent de leur puissance alors qu'une corde rustique en chanvre, celle des longs arcs traditionnels gallois, gagne en dureté lorsqu'elle est mouillée. Les arbalétriers génois ne peuvent lancer que des traits sans force et sans précision, alors que les archers gallois continuent les tirs en l'air pour arroser un secteur choisi par un guetteur haut perché sans souci de précision. Les Génois sont épuisés par leur marche avec cette arme lourde et encombrante alors que les archers gallois n'ont qu'à détendre leurs arcs. De plus, ils ne tirent qu’à une cadence de 4 coups par minute, et enfin, la précipitation de la bataille les envoie démunis de leurs pavois, qui sont leur seule protection, restés dans les bagages en arrière.

Malgré une idée traditionnellement répandue, il est possible que canons ou autres bombardes n'ont pas été employés à Crécy : peut-être ont-ils joué un rôle mineur, uniquement pour contrer psychologiquement les charges renouvelées de chevalerie française. En effet, les seules mentions de ces armes sont faites par le florentin Giovanni Villani, qui rapporte ces événements quelques mois après la bataille dans sa Nuova Cronica. Ainsi, dit-il, « le roi d'Angleterre disposa ses très nombreux archers qui sur les chariots, qui en dessous, armés de bombardes qui tiraient des petites balles de fer avec du feu » (XIII 67). Lesquelles bombardes, continue l'auteur, « produisaient un tel boucan que l'on aurait dit que Dieu lui-même tonnait, causant de nombreux morts parmi les soldats et abattant de nombreux chevaux » (XIII 68). Giovanni Villani n'ayant pas assisté à la bataille, Froissard ne mentionnant ces canons que dans la deuxième édition de son texte et les Grandes Chroniques étant postérieures de près d'un siècle aux événements, il est difficile de tenir compte de ces témoignages. Du côté anglais, aucun chroniqueur ne mentionne d'armes à feu. À la logique des faits il serait possible que nulle bombarde n'ait été utilisée : Édouard III faisait retraite après une campagne éclair de pillage, et il apparaît peu sensé qu'il se soit encombré de lourdes bombardes difficilement transportables à travers les gués des fleuves et les marais de la baie de Somme, sans avoir à les démonter et remonter, a fortiori pour une campagne rapide comme celle-là. Toutefois, même si la surprise dans les rangs français et la terreur de la chevalerie face à ces armes nouvelles doivent en être atténuées, l'ost français avait utilisé ces mêmes bombardes en 1324 lors de la campagne de Guyenne.

Les Génois aussi mal protégés sous la pluie d'orage inoffensive que sous la pluie de flèches galloises régulièrement mortelles hésitent, se replient puis s'enfuient loin des Anglais. Croyant à une trahison, le roi Philippe VI ordonne aux chevaliers français qu'ils tuent les mercenaires fuyards. Dans leur enthousiasme dément, ceux-ci chargent leurs propres alliés. Ils poursuivent sur les lignes anglaises, mais les traits d'arbalètes les déciment et ils s'empalent sur les pièges placés la veille.

 

La suite pour les Français n'est qu'une succession de charges inutiles et meurtrières, sans cohérence ni commandement d'ensemble.

Jusque tard dans la nuit fraîche sous un ciel étoilé, les Français effectuent sans succès une quinzaine de charges, brisées par les archers gallois. Ceux-ci, au nombre de 6 000, avec leur arc long anglais tirant chacun de 6 à 12 flèches à la minute (soit 36 000 à 72 000 flèches), noient sous une grêle de flèches les Français, dont les chevaux ne sont pas encore protégés, ou mal. Cependant, après le lever du jour, un assaut français plus organisé, mené par le duc d’Alençon, frère de Philippe VI, atteint la première ligne d'archers gallois qui au corps à corps, face à des chevaliers au grand galop, ne peut résister. Les chevaliers français en rage commencent un terrible massacre ; les archers, horrifiés par le carnage dans leurs rangs, reculent en désordre.

La réponse est consignée dans les registres littéraires. Il est évident que les troupes britanniques serrent les rangs. Deux corps voisins viennent en renfort et s'efforcent de repousser l'offensive, puis de la diviser. Ainsi, après avoir traversée la ligne d’archers, l’attaque du duc d’Alençon se heurte à des gens d’armes et aux chevaliers anglais. Cernés de toutes part, les chevaliers français épuisés par le poids de leur armure, aveuglés par le soleil et déshydratés par la chaleur estivale, restent isolés et subissent de lourdes pertes car leurs chevaux sont d'abord abattus par les archers. Ainsi la seule réelle percée de la chevalerie française finit à pied, massacrée sous le nombre des adversaires. Parmi les morts se trouve l'imprudent duc d’Alençon tué sous son cheval.

Semble-t-il bien avant midi, le roi de France blessé par un projectile suit les conseils du comte de Hainaut et abandonne le champ de bataille où s'amoncellent chevaliers massacrés et chevaux transpercés. Avec une petite escorte il demande asile au château de Labroye quelques lieues plus au nord. La scène est restée célèbre : blessé au visage, effaré par cette catastrophe qu'il n'avait pas prévue, il appelle : « Ouvrez, c'est l'infortuné Roi de France ! »

Sur le champ de bataille, les actes de vain héroïsme se succèdent, dont celui de Jean Ier de Luxembourg, aveugle, qui charge entouré de ses gens sur son cheval lié par la bride à ceux de sa maison.

Cette bataille marque la fin de la guerre dite de tradition « courtoise ». Mais n'oublions pas que la narration littéraire courtoise n'a rien à voir avec le monde concret de la guerre et de la domination politique, si ce n'est qu'elle est porteuse d'un imaginaire sublimé des actes et des pensées.

Édouard III a désormais les mains libres pour remonter vers Calais, et assiéger la ville. Le long siège de Calais ouvre véritablement la guerre de Cent Ans, une guerre longue où le vainqueur du moment et du lieu s'appuie sur un réseau de villes places-fortes en extension et un pillage dévastateur des campagnes.

 

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18 juin 2013 2 18 /06 /juin /2013 18:33

Les BARROIS dans l’histoire :

 

Le premier des BARROIS est Jean berger à INGHEM, décédé le 12 juillet 1703 donc né avant 1700, marié à Marie Ducatel , un fils de cette union BARROIS Claude Henry journalier, né à INGHEM le 28 janvier 1693 et marié à MOTTE Marie Anne le 16 JUILLET 1726 à Racquinghem, décédé le 9 septembre 1780. De cette union un fils BARROIS Liévin.

 

Marie Thérèse BARROIS fille de BARROIS Liévin et de Marie Catherine VACHEU (mariage des parents le 4 février 1755 à Arques) mariée à BOURDON  Pierre Louis le 3 septembre 1793 à Arques, Marie Thérèse est décédée à Blendecques le 28 avril 1842. Barrois Liévin fils de Barrois Claude et Marie Anne Motte, natif de Racquinghem.

 

BARROIS

Cliquez ici pour les prénoms par ordre alphabétique.

o Jean †1703 & Marie DUCATEL †1708

o Claude Henry 1693 &1726 Marie Anne MOTTE †1780

o Liévin & Marie Catherine Thérèse VACHEU

o Marie Thérèse †1842 &1793 Pierre Louis BOURDON 1762-1840

 

1693  LOUIS XIV ROI des Français

 

2 juin : Nouvelle campagne dévastatrice dans le Palatinat

 

28 juin : Tourville détruit une importante flotte anglaise au large du Portugal

 

29 juillet : Victoire de Neerwinden remportée par le maréchal de Luxembourg sur les Impériaux.

 

8 septembre : Pondichéry se rend aux troupes Hollandaises, après 2 semaines de sièges.

 

4 octobre : défaite du duc de Savoie à la Marsaille  (Piémont) par l’armée de Nicolas Catinat.

 

 

1703  LOUIS XIV ROI des Français


Victoire de l’armée de Villars  à Hochstedt.

 

1726  LOUIS XIV ROI des Français

 

12 juin : L’abbé Fleury, nommé cardinal en 1725, devient Premier Ministre

 

19 aout : Mesures financières, stabilisation de la monnaie, rétablissement de la ferme générale et suppression du cinquantième.

 

1755 : LOUIS XIV ROI des Français

 

La Tour : Portrait de madame de Pompadour

Rousseau : Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité.

 

10 juin : L’Angleterre attaque par surprise la flotte française au Canada. Affrontements en Louisiane. La France rompt ses relations diplomatiques.

 

17 novembre : Naissance à Versailles de Louis Stanislas Xavier, comte de Provence, futur Louis XVIII, Roi de France.

 

1780 D LOUIS XVI Roi de France

 

2 mai : Départ de la Rochambeau pour l’Amérique à la tête d’une expédition de 6000 hommes

 

24 août : Abolition de la question ordinaire.

 

 1793  CONVENTION NATIONALE : 

 

17 janvier 1793 : Les députés de la Convention votent la mort du Roi

 

21 janvier 1793 : Exécution du roi Louis XVI

 

1 février 1793 : La France déclare la guerre à l’Angleterre, à la Hollande puis en mars à l’Espagne. Vote par la Convention d’une levée de 300000 hommes pour les besoins de la guerre.

 

18 mars 1793 : Dumouriez est battu à Neerwinden. En mars soulèvement de la Vendée contre la République.

 

Avril 1793 : Arrestation de Marat par les Girondins, mais son procès tourne à l’acquittement triomphal

 

De juillet à décembre : Troubles fédéralistes dans le Midi : Marseille, Toulon, Toulouse, bordeaux se révoltent. Développement du soulèvement Breton : les vendéens s’emparent de Saumur. Les insurrections sont écrasées. Marseille tombe le 25 août, Lyon le 12 octobre. Les vendéens subissent deux graves défaites, à Cholet le 17 octobre et Savenay le 23 octobre.

 

13 juillet 1793 : Charlotte Corday assassine Marat

 

27 juillet : Robespierre entre au Comité de salut public, après que DANTON en a été écarté.

 

4 – 5 septembre : la Convention décrète la Terreur

 

8 septembre 1793 : Victoire de Houchard à Dunkerque

 

16 octobre 1793 : Exécution de la Reine Marie Antoinette après procès. Le même jour victoire de Jourdan et Carnot à Wattignies sur les Autrichiens.

 

27 novembre 1793 : Annexion de la Savoie

Début décembre Noyades de Nantes

 

19 décembre 1793 : Napoléon Bonaparte reprend Toulon aux Anglais

 

 

1842 : Monarchie de Juillet

 

Eugène SUE : Les Mystères de Paris dans le journal des débats

 

11 juin : adoption d’une loi visant l’organisation des chemins de fer, dont le financement sera assuré conjointement par l’Etat, les communes et les concessionnaires. Un plan rayonnant de sept lignes autour de Paris est adopté. Déraillement de la ligne Paris Versailles à la hauteur de Meudon : 45 morts le 8 mai 1842

 

13 juillet : Mort accidentelle du Duc D’Orléans, fils aîné du roi.

 

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17 juin 2013 1 17 /06 /juin /2013 20:30

BARROIS :

 

ORIGINE DU NOM : Assez fréquent dans la Marne et le Nord-Pas-de-Calais, désigne celui qui est originaire du Barrois (région de Bar-le-Duc).

 

On trouve des BARROIS à : A ARQUES, RACQUINGHEM, BLENDECQUES et à INGHEM

 

ARQUES :

Nichée dans un coin du Parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, la ville d'Arques offre un cadre de vie des plus agréables, où la nature est omniprésente (forêt, parcs, étangs, rivières...). La conquête romaine menée par César au début de notre ère a pour conséquence la pacification des habitants de la Morinie, région réputée pour ses nombreux marécages et ses immenses forêts. Arkes, notée sur des plans du 9ème siècle est alors traversée par une voie romaine allant de Thérouanne à la mer. Terre humide et à forte déclivité, Arkes devient en 530 la propriété de la comtesse Mathilde, arrière petite fille de Flandebert, chefs des Morins et des Ménapiens. Walbert, arrière petit-fils de Mathilde et comte d'Arkes, dresse sur les conseils des abbés Omer et Bertin une église dédiée à Saint Martin et à proximité de son château en 646.

Après un accident de cheval où il manque de perdre la vie, Walbert, guéri grâce à un breuvage donné par Bertin, donne le comté d'Arkes à ce dernier et à ses moines. Il entre ensuite au monastère. L'abbé Odland fait creuser en 797 le bras supérieur de l'Aa, de Blendecques à Arques, afin d'actionner un moulin installé devant le château, alors occupé régulièrement par les moines. De l'abbaye de St Bertin, ils font alors régner l'ordre sur les différents hameaux que regroupe Arques.

Après l'assassinat de l'abbé Foulques, les Comtes de Flandres s'emparent de St Bertin et de son territoire. C'est ainsi que Beaudouin V fait construire un fossé de la Lys aux marais de Saint-Omer pour servir de défense contre les Français entre 1054 et 1092. Les comtes de Flandres, de manière progressive, redonnent aux religieux de St Bertin par une série d'oboles les territoires d'Arques précédemment appropriés.

Lors de la guerre de 100 ans, la ville est pillée en 1340 par l'armée anglo-flamande assiégeant Saint-Omer et commandée par Robert d'Artois. Les anglais reviennent mettre la ville à sac en 1346, 1369 et 1435. Du point de vue économique, en 1363, Saint-Omer et Arques se querellent à propos de la fabrication des draps. Saint-Omer est la ville désignée pour la production officielle de ce genre d'articles. Or, à Arques, d'autres drapiers sont accusés de faire des contrefaçons afin de nuire aux artisans de Saint-Omer. Malgré des réglementations strictes, les fausses productions se poursuivent. Certains artisans audomarois viennent alors casser les métiers à tisser arquois.

Louis XI brûle la ville suite au siège infructueux de Saint-Omer en 1477. En 1643, l'Espagne qui détient la Flandre possède aussi les villes d'Aire, de Saint-Omer et leurs alentours, formant ce qu'on a appelé "l'Artois réservé". Lors du traité de Nimègue, en 1678, l'ensemble de l'Artois revient à la France.

Le canal de Neufossé est construit sur les décisions de Vauban, pour relier la Lys à l'Aa, en 1756. Le nom de Neufossé vient du fait que son tracé utilise en partie l'ancien fossé creusé au 11ème siècle. Toutefois, une déclivité brutale de 13,13 m empêche toute navigation au lieu dit des "Fontinettes" : c'est la raison pour laquelle une série de 7 écluses en palier est construite.

La ville regroupe plusieurs hameaux disséminés. Son développement économique est lent mais certain. La présence du canal favorise de plus en plus les échanges commerciaux et Arques en profite. Les deux bras de l'Aa sont utilisés pour la production d'énergie hydraulique, pour la fabrication de bière et de genièvre. La révolution industrielle touche Arques vers le milieu du 19ème siècle. Deux filatures de lin et de jute s'y installent, deux distilleries, plusieurs carrières en divers endroits sont ouvertes pour recueillir sable, gravier, silex... Des fabriques de tuiles (Pannes) et de briques s'installent aussi, de même qu'une verrerie à bouteilles (Barrez), une verrerie-cristallerie (Avot / Durand) et une papeterie. L'exploitation de la forêt de Rihoult autorise la présence de nombreux bûcherons dans les hameaux du Haut-Arques et de Malhôve.

En 1889, devant l'augmentation de la taille des péniches et l'importance du trafic sur le canal qui oblige l'instauration de jours fixes pour la montée et la descente des écluses, un ascenseur à bateaux fonctionnant sur le principe d'une balance hydraulique est édifié. Il représente encore aujourd'hui un monument unique, témoin du génie industriel de la fin du 19ème siècle.

Située à mi-chemin de la zone du front et des côtes où débarquent les soldats alliés, Arques est pendant la première guerre mondiale une ville étape mais aussi stratégique. Plus de 100.000 militaires cantonnent dans la ville qui subit de nombreux bombardements entre 1914 et 1918.

Après guerre, l'économie se redresse et de nouvelles entreprises s'implantent, comme un laboratoire de produits pharmaceutiques, une nouvelle papeterie... Plus de 5.000 habitants sont recensés. En 1936 et 1937, des mouvements ouvriers apparaissent dans le contexte agité du Front Populaire. Des défilés imposants sont organisés dans les rues et les gardes mobiles doivent intervenir, tant à la verrerie à bouteilles qu'à la verrerie-cristallerie.

Durant la seconde guerre mondiale, une piste d'aviation est créée dans le Haut-Arques par l'armée allemande. Plusieurs bombardements ont lieu. Du 3 au 5 septembre 1944, un régiment polonais libère la ville.

L'après-guerre voit se développer de manière considérable la verrerie-cristallerie qui contribue à faire connaître la ville dans le monde entier. Les autres entreprises familiales comme les distilleries, les brasseries ou la filature périclitent et disparaissent au cours des années 50.

BLENDECQUES

 

De nombreuses trouvailles dans le sol "semblent" confirmer l'origine reculée de ce village. er l'origine reculée de ce village.
Blendeka en 1139, Blendecques en 1296, Blendecques en 1423. On trouve aussi "Blandèque" au cadastre de 1811.

Blendecques
est un nom gallo-romain et son prototype est Blandiacum qui signifie un nom de domaine : Blendecques est à coup sûr le domaine de Blandius, nom d'homme, qui a fourni aussi tous les Blangy que l'on trouve en France. La terminaison -ecques s'explique par le fait qu'entre le VIème et le IXème siècle, le nom a subi une influence germanique et qu'il n'a pas évolué, comme ses homologues en milieu roman. De nombreux exemples locaux viennent corroborer ce fait, ainsi Coyecques, Hézecques, Warnecques, Arneke qui participent du même processus de formation toponymique. C'est d'ailleurs ce que pressentait le vieux Louis Ricouart sans être assuré de sa proposition. Les découvertes archéologiques récentes vont d'ailleurs dans ce sens.

L'origine se lie à Saint-Omer par une donation que fait Adroald, Seigneur de Sithoie à Audomare, évêque de Thérouanne vers 648. Cette commune commença a être connue vers la fin du XIIème siècle par la fondation de l'Abbaye Sainte-Colombe. Cette abbaye Cistercienne fondée en 1186 par une branche de la famille des châtelains d'Aire en reçut la seigneurie.

Blendecques
comptaient 373 habitants en 1698, 985 au début de la révolution et 4014 au recensement de 1962.
Le hameau de Wins aurait été le théâtre d'une attaque infructueuse des Normands au IXème siècle. En 891, Saint-Omer fut attaquée par les Normands, vigoureusement poursuivis par les moines de Saint-Bertin et les habitants de Saint-Omer. Les Normands furent massacrés à Wins.

Au début du XIème siècle, une épidémie cruelle du "mal des Ardents" ou feu Saint-Antoine désole la région. En 1303, Blendecques souffre des incursions flamandes. Après le traité d'Arras de 1435, les troupes anglaises du Duc de Glocester dévastent la vallée de l'Aa. En 1537, les habitants se retirent à Saint-Omer. Avec le Comte de Reulx, au service de l'Espagne, la paix revient par le traité de Vervins, en 1598. D'autres vicissitudes se terminent le 5 mars 1677 avec la célèbre bataille de Cassel du Duc d'Orléans.

Etymologiquement, outre ce qui est dit ci-dessus, Ricouart, dans ses études sur les noms des lieudits, pense que Blandeke ou Blandiacum signifiait "l'agréable domaine ou la villa de Blandius". Une étude plus récente affirmerait que Blandiacum veut dire "village fort agréable".

Dans un Terrier commencé vraisemblablement au milieu du XVIIème siècle, que de lieudits, que de noms de chemins ont disparu ou sont presque inconnus. Au début du XIIIème siècle, il y avait à Blendecques, trois églises. L'Eglise paroissiale, l'Eglise de l'Abbaye et l'Eglise de Soyecques qui servait à l'usage des domestiques de l'Abbaye. Le Terrier permet de situer l'emplacement de cette église édifiée sur une terre nommée "églisette de Soyecques" dans laquelle, par tradition "était autrefois une église et cimetière" commune aux deux paroisses de Blendecq. L'eau d'une source de Ste Soyecques guérissait les enfants atteints d'eczéma.

L'ancienne Abbaye ou Abbaye des Dames de Sainte-Colombe fut fondée en 1182 par Ghison d'Aire. Le monastère reconstruit en 1640 fut démoli en 1792, sauf le quartier abbatial qui constitue encore de nos jours une demeure particulière. Le blason de l'Abbaye portait une colombe d'argent avec crosse d'or, sur un champ d'or et de sable.
Pendant la guerre 1939/1945, l'église a souffert fortement des bombardements aériens et sa restauration a été décidée par la municipalité. La créance dommages de guerre s'est avérée insuffisante pour couvrir les frais de réfection. Aussi, le Conseil Municipal, à partir de 1956 a-t-il investi d'importants capitaux.

 

RACQUINGHEM : Village du Pas de Calais, de l’arrondissement de Saint Omer environ 2300 habitants, La commune est située sur le bord du canal de Noeufossé qui fait la frontière entre le nord et le pas de calais. Il est probable que la commune ait connue une occupation préhistorique, avant une période mal connue conclue par la soumission à l'empire romain il y a environ 2000 ans (Guerre des gaules).
Divers conflits ont depuis concerné la commune, dont aux environ du milieu de l'an 1000 la guerre entre le comte de Flandre (Baudouin le Pieux) et l’empereur Henri III, qui s'est pour partie cristallisée entre Arques et Aire-sur-la-Lys, sur la frontière artificielle créée à cette occasion par le creusement d'un canal défensif dit Neuf-Fossé, qui deviendra le Canal de Noeufossé.

INGHEM :

Village du Pas de Calais, de l’arrondissement de Saint Omer er du canton d’Aire sur la Lys. 360 habitants

Les BARROIS dans l’histoire :

 

Le premier des BARROIS est Jean berger à INGHEM, décédé le 12 juillet 1703 donc né avant 1700, marié à Marie Ducatel , un fils de cette union BARROIS Claude Henry journalier, né à INGHEM le 28 janvier 1693 et marié à MOTTE Marie Anne le 16 JUILLET 1726 à Racquinghem, décédé le 9 septembre 1780. De cette union un fils BARROIS Liévin.

 

Marie Thérèse BARROIS fille de BARROIS Liévin et de Marie Catherine VACHEU (mariage des parents le 4 février 1755 à Arques) mariée à BOURDON  Pierre Louis le 3 septembre 1793 à Arques, Marie Thérèse est décédée à Blendecques le 28 avril 1842. Barrois Liévin fils de Barrois Claude et Marie Anne Motte, natif de Racquinghem.

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 18:18

TROGNEUX (coté Prudhomme et Pruvost  DELEURY)

 

Il s’agit de TROGNEUX de la branche DELEURY, nous trouvons dans cette branche le premier TROGNEUX de l’arbre : Théodore né certainement à Vaulx prés d’Auxy en 1743, marié avec PETIT Marianne. De cette union né en 1775 à Vaulx un garçon, Maurice, qui se mari le 15 aout 1798 avec BULOT Clotilde. De cette union une fille qui va naitre en 1802, il s’agit de TROGNEUX Christine Arthemise. Mariée avec DELEURY Joseph, de cette union va naitre une fille Mathilde DELEURY. Christine TROGNEUX est décédée à Vaulx le 18 juin 1856.

 

 

VAULX : CANTON D’AUXY LE CHATEAU altitude  93 M    492 Habitants

 

 

VAULX ainsi que le village d’HARAVESNES, enclaves de France en Artois n’ont été assujettis aux impositions de la province qu’après l’arrêt du conseil du 12 avril 1743, concernant les enclaves d’Artois et de Picardie. Après leur rattachement à l’Artois, VAULX et HARAVESNES ont été régis par la coutume particulière d’Hesdin, tout en conservant une coutume locale propre de 1627 ; Les deux villages dépendaient administrativement du bailliage d’Hesdin, mais comme enclaves de France en Artois, ils étaient placés sous la juridiction immédiate du conseil d’Artois .Jusqu’en 1526, ils dépendaient de la châtellenie de la Ferté lés Saint Riquier, rattachée elle - même au bailliage d’Amiens.

 

La porte d’entrée du château est datée de 1745.Le pignon septentrional tourné vers l’église présente un fronton orné des armes des De La PORTE, famille auquel la terre a appartenu depuis le XV éme siècle.

 

L’église de 1786/1789 est de style Louis XVI.

 

Dans le cimetière se trouve une merveilleuse chapelle datée du XVII éme siècle précédée d’un porche en bois et en torchis ; Dédiée à SAINT-ROCH, elle est en pierre de taille. La porte ajourée en bois tourné, les gravures encore écrite en espagnol et le retable polychrome dont ST ROCH et son chien occupent le centre.

 

1743 : Louis XV Roi de France

 

9 janvier : Mort du cardinal de Fleury. Le Roi décide de gouverner seul, assisté du Conseil d’en Haut.

 

Mai : L’Angleterre s’allie à l’Autriche contre la France.

 

 

1775 : Louis XVI roi de France

 

Elisabeth Vigée-Lebrun est nommée peintre officiel de la Reine.

Beaumarchais écrit le Barbier de Séville.

 

Avril et mai : La cherté des blés entraine la « guerre des farines » qui se traduit par des émeutes : en Champagne et en Bourgogne, dans l’Oise, à Paris et Versailles.

 

Juillet –octobre : Remaniement ministériel : Malesherbes est nommé secrétaire d’état à la Maison du Roi. Turgot reçoit la charge de surintendant des Postes. Le comte de Saint Germain devient secrétaire d’Etat à la guerre.

 

 

1798 : La Révolution Française

 

Poursuite agressive de la politique du Directoire. Campagne de Bonaparte en Egypte : bataille des pyramides et prise du Caire le 21 juillet.

 

Destruction le 1 er aout de la flotte Française par Nelson à Aboukir.

 

Novembre –Décembre : Système fiscal est réorganisé. Apparition de l’impot foncier et mobilier, de la patente, de l’impôt sur les portes et fenêtres.

 

 

1802 : Le Consulat

 

Bonaparte organise doucement son pouvoir personnel. Il épure et organise le Tribunal devenu chambre d’opposition, se fait proposer le consulat à vie par le Sénat et le Corps législatif avant de se faire plébisciter le 2 août.

 

25 mai 1802 : Paix d’Amiens entre la France et l’Angleterre

 

19 mai 1802 : Création de la Légion d’honneur

 

20 mai 1802 Rétablissement de l’esclavage dans les colonies

 

Octobre : La France annexe le Piémont, Parme et l’île d’Elbe

 

Chateaubriand : le génie du christianisme  --- Madame de Staël : Delphine

 

 

1856 : Le Second Empire Napoléon III

 

Tocqueville : L’ancien Régime et la Révolution

 

30 mars : Traité de Paris met fin à la guerre de Crimée. Il garantit  l’intégralité de l’Empire Ottoman et neutralise la mer Noire.

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 15:47

DELEURY Mathilde se mariera avec PRUVOST Jacques Nicolas

 

 

 

 

 

 

                 
                 
84    
85        
       
42  Deleury Joseph      
         
21 Deleury Mathilde
N 14/03/1834 D ???
Trogneux Christine Arthemise 172 Trogneux Théodore
43 N 15 08 1802  D 18 06 1856 173 N 1743  
Trogneux Maurice Petit Marianne
86 N 16/12/1775      
87  Bulot Clotilde
N31/03/1779  
174 Bulot Jean Louis
     
175 Parmentier Robertine
     

 

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 18:30

La numérotation de Sosa-Stradonitz est une méthode de numérotation des ancêtres pour les généalogies ascendantes. Elle fut mise au point par le franciscain  et généalogiste Jérôme de Sosa en 1676, reprenant en cela la méthode publiée à Cologne en 1590 par Michel Eyzinger qui avait déjà utilisé ce système de numérotation parfaitement abouti.

 

Elle attribue le numéro 1 à l'individu étudié (le sujet, appelé « de cujus » par certains, « probant » par d'autres) puis le numéro deux à son père et trois à sa mère.

 

Ascendance de PRUDHOMME Patrick au 3 janvier 2013 --

 

1 : Patrick PRUDHOMME, né à BERCK SUR MER le 13 Avril 1956, fils de Marcel PRUDHOMME et de Suzanne MOURET, marié en seconde noce  à Martine BERSEZ, le 1 Septembre 2001 à THUN L'EVEQUE.
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2 : Marcel PRUDHOMME, né à ACQUET le 9 Octobre 1918, décédé à Cambrai le 14 décembre 2012, fils de Maurice PRUDHOMME et de Mathilde PRUVOST, épouse Suzanne MOURET, le 9 Juillet 1947 à AUXY (née le 8 Septembre 1928 à AUXY, fille de André MOURET et de Georgette LANGLOIS), décédé à Cambrai le 14 décembre 2012.
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3 : Suzanne MOURET, née à AUXY le 8 Septembre 1928, fille de André MOURET et de Georgette LANGLOIS), épouse Marcel PRUDHOMME, le 9 Juillet 1947 à AUXY (né le 9 Octobre 1918 à ACQUET, fils de Maurice PRUDHOMME et de Mathilde PRUVOST).
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4 : Maurice PRUDHOMME, né à ABBEVILLE le 13 Février 1885, décédé au Hameau d'Acquet le 19 Mars 1932, fils de Alexandre PRUDHOMME et de Ludivine DIMPRE), épouse Mathilde PRUVOST, le 7 Septembre 1915 à ACQUET (née le 18 Décembre 1886 à ACQUET et décédée le 17 Mars 1969 à ACQUET, fille de Constant PRUVOST et de Zélima COSSIN).
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5 : Mathilde PRUVOST, née à ACQUET le 18 Décembre 1886, décédée à ACQUET le 17 Mars 1969, fille de Constant PRUVOST et de Zélima COSSIN), épouse Maurice PRUDHOMME, le 7 Septembre 1915 à ACQUET (né le 13 Février 1885 à ABBEVILLE et décédé le 19 Mars 1932 à Hameau d'Acquet, fils de Alexandre PRUDHOMME et de Ludivine DIMPRE).
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6 : André MOURET, né à HARAVESNES le 1 Juin 1902, décédé à AUXY LE CHATEAU le 19 Mars 1943, fils de Ovide MOURET et de Apauline HUGOT), épouse Georgette LANGLOIS, le 14 Septembre 1926 à AUXY LE CHATEAU (née le 11 Octobre 1903 et décédée le 16 Aout 1982 à BERCK, fille de Léon LANGLOIS et de Pauline CARPON).
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7 : Georgette LANGLOIS, née le 11 Octobre 1903, décédée à BERCK le 16 Aout 1982, fille de Léon LANGLOIS et de Pauline CARPON, épouse André MOURET, le 14 Septembre 1926 à AUXY LE CHATEAU (né le 1 Juin 1902 à HARAVESNES et décédé le 19 Mars 1943 à AUXY LE CHATEAU, fils de Ovide MOURET et de Apauline HUGOT).
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8 : Alexandre PRUDHOMME, né à ABBEVILLE le 8 Mars 1861, fils de Antoine PRUDHOMME et de Catherine HALATRE), épouse Ludivine DIMPRE, le 15 Décembre 1883 à ABBEVILLE (née le 28 Mai 1859 à ACQUET, fille de Pierre DIMPRE et de Marie BARRE).
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9 : Ludivine DIMPRE, née à ACQUET le 28 Mai 1859, fille de Pierre DIMPRE et de Marie BARRE), épouse Alexandre PRUDHOMME, le 15 Décembre 1883 à ABBEVILLE (né le 8 Mars 1861 à ABBEVILLE, fils de Antoine PRUDHOMME et de Catherine HALATRE). Décédée en mai 1902 à Abbeville.
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10 : Constant PRUVOST, né à ACQUET le 15 Février 1859, décédé à ACQUET le 1 Novembre 1927, fils de JacquesNicolas PRUVOST et de Mathilde DELENRY, épouse Zélima COSSIN, le 9 Octobre 1886 à ACQUET (née le 4 Janvier 1860 à ACQUET et décédée le 23 Janvier 1936 à ACQUET, fille de Etienne COSSIN et de Adélaide BEHEM).
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11 : Zélima COSSIN, née à ACQUET le 4 Janvier 1860, décédée à ACQUET le 23 Janvier 1936, fille de Etienne COSSIN et de Adélaide BEHEM, épouse Constant PRUVOST, le 9 Octobre 1886 à ACQUET (né le 15 Février 1859 à ACQUET et décédé le 1 Novembre 1927 à ACQUET, fils de JacquesNicolas PRUVOST et de Mathilde DELENRY).
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12 : Ovide MOURET, né le 18 Juin 1871, fils de François MOURET et de Marie BALAVOINE), épouse Apauline HUGOT le 31 janvier 1894 à Haravesnes (née le 26 Octobre 1871 à HARAVESNES, fille de Aubin HUGOT et de Apauline REVEILLON).
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13 : Apauline HUGOT, née à HARAVESNES le 26 Octobre 1871, fille de Aubin HUGOT et de Apauline REVEILLON), épouse Ovide MOURET (né le 18 Juin 1871, fils de François MOURET et de Marie BALAVOINE).
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14 : Léon LANGLOIS, né à AUXY LE CHATEAU le 19 Février 1843, décédé à AUXY LE CHATEAU le 26 Mars 1944, fils de Joachim LANGLOIS et de Joséphine CANDAS), épouse Pauline CARPON, le 1 Septembre 1902 à AUXY LE CHATEAU (née le 5 Décembre 1879 à AUXY LE CHATEAU et décédée le 20 Mai 1940 à Chemin le Ponchel AUXY, fille de PierreFrançois CARPON et de Virginie BOURDON).
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15 : Pauline CARPON, née à AUXY LE CHATEAU le 5 Décembre 1879, décédée à Chemin le Ponchel AUXY le 20 Mai 1940, fille de PierreFrançois CARPON et de Virginie BOURDON), épouse Léon LANGLOIS, le 1 Septembre 1902 à AUXY LE CHATEAU (né le 19 Février 1843 à AUXY LE CHATEAU et décédé le 26 Mars 1944 à AUXY LE CHATEAU, fils de Joachim LANGLOIS et de Joséphine CANDAS).
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16 : Antoine PRUDHOMME, né à ABBEVILLE le 13 Avril 1830, fils de Antoine Jean PRUDHOMME et de Françoise LAMY), épouse Catherine HALATRE à Mareuil le 23/04/1851 (née le 1 Juin 1829 à MAREUIL et décédée le 4 Septembre 1880 à ABBEVILLE, fille de Jean Baptiste HALATRE et de Marie Christine CREPIN).Décédé le 30 avril 1900 à Abbeville
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17 : Catherine HALATRE, née à MAREUIL le 1 Juin 1829, décédée à ABBEVILLE le 4 Septembre 1880, fille de Jean Baptiste HALATRE et de Marie Christine CREPIN, épouse Antoine PRUDHOMME à Mareuille 23 avril 1851, (né le 13 Avril 1830 à ABBEVILLE, fils de Antoine Jean PRUDHOMME et de Françoise LAMY).
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18 : Pierre DIMPRE. marié à BARRE Marie le 3 aout 1858 à Neuilly le Dien.Décédé le 1 juillet 1894 à Acquet.
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19 : Marie BARRE, née à ACQUET le 15 Aout 1827, fille de François BARRE et de Marie PLANTE).
(Notes : Naissance à Acquet mais enregistré comme tous les actes dans la mairie de Neuilly le Dien commune de la Somme du Canton de Crecy en Ponthieu)marié à Pierre DIMPRE le 3 aout 1858 à Neuilly le Dien.
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20 : Jacques Nicolas PRUVOST, né à VAULX le 20 Juillet 1817, fils de Antoine PRUVOST et de Rose TROGNIEUX), épouse Mathilde DELEURY à VAULX le 12 avril 1856.
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21 : Mathilde DELEURY,née à VAULX le vendredi 17 mars 1833, épouse Jacques Nicolas PRUVOST à VAULX (né le 20 Juillet 1817 à VAULX, fils de Antoine PRUVOST et de Rose TROGNIEUX). Décédé le 4 juin 1872 à Vaulx.
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22 : Etienne COSSIN, né le 31 Octobre 1833, fils de Jean François COSSIN et de Augustine COSSIN.Marié à Adélaide BEHEM le 2 mars 1859 à Acquet.
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23 : Adélaide BEHEM. née le 2 juin 1835 à Neuilly le Dien.Mariée à  Etienne COSSIN le 2 mars 1859 à Acquet.
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24 : François MOURET, né à QUOEUX le 24 Avril 1851, décédé le 2 Juin 1891 à Haravesne, fils de Pierre François MOURET et de Céline PAILLART), épouse Marie BALAVOINE, le 16 Mai 1871 à QUOEUX (née le 18 Février 1848 à QUOEUX, fille de LouisEustache BALAVOINE et de MarieAnne MALLARD).
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25 : Marie BALAVOINE, née à QUOEUX le 18 Février 1848, fille de Louis Eustache BALAVOINE et de Marie Anne MALLARD, épouse François MOURET, le 16 Mai 1871 à QUOEUX (né le 24 Avril 1851 à QUOEUX et décédé le 2 Juin 1891, fils de PierreFrançois MOURET et de Céline PAILLART).
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26 : Aubin HUGOT, né à HARAVESNES le 1 Mars 1822, épouse Apauline REVEILLON.
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27 : Apauline REVILLION, née à Régnauville le 20 juillet 1833,épouse le 26 novembre 1863 à Régnauville Aubin Lescat HUGOT né le 1 Mars 1822 à HARAVESNES, fils de Casimir HUGOT et de Mathilde GUYOT).
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28 : Joachim LANGLOIS, né à AUXY le 19 Février 1843, décédé à AUXY LE CHATEAU le 3 Novembre 1884, fils de François Marie LANGLOIS et de Catherine PETIT, épouse Joséphine CANDAS à AUXY (née le 16 Juillet 1846 à AUXY, fille de François/Théodore CANDAS et de Bassilisse CAYEUX).
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29 : Joséphine CANDAS, née à AUXY le 16 Juillet 1846, fille de François Théodore CANDAS et de Bassilisse CAYEUX, épouse Joachim LANGLOIS à AUXY le 15 juillet 1865 (né le 19 Février 1843 à AUXY et décédé le 3 Novembre 1884 à AUXY LE CHATEAU, fils de François/Marie LANGLOIS et de Catherine PETIT). Décédée à Auxy le 11 aout 1875.
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30 : Pierre François CARPON, né à WAVANT le 18 Novembre 1833, décédé à AUXY LE CHATEAU le 29 Mars 1884, fils de François Procoppe CARPON et de Emilie POIRE), épouse Virginie BOURDON à AUXY le 28 janvier 1862 (née le 28 Novembre 1837, fille de Pierre Louis BOURDON et de Virginie GEANSSOINNES).
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31 : Virginie BOURDON, née le 28 Novembre 1837, fille de PierreLouis BOURDON et de Virginie JANSOONE), épouse Pierre François CARPON à AUXY  le 28 janvier 1862 (né le 18 Novembre 1833 à WAVANT et décédée le 29 Mars 1884 à AUXY LE CHATEAU, fils de FrançoisProcoppe CARPON et de Emilie POIRE).
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32 : Antoine Jean PRUDHOMME,né le 28 aout 1782 à Epagnette, épouse Françoise LAMY, le 31 Octobre 1829 à ABBEVILLE (née le 20 Aout 1790, fille de XXXXX inconnu et de Marie/Anne LAMY).
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33 : Françoise LAMY, née le 20 Aout 1790, fille de XXXXX inconnu et de Marie/Anne LAMY), épouse Antoine/Jean PRUDHOMME, le 31 Octobre 1829 à ABBEVILLE.
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34 : Jean Baptiste HALATRE, né à MAREUIL le 18 Nivôse An V, fils de Pierre HALATRE et de Marie DELEUZE), épouse  CREPIN, le 7 Mai 1826 à MAREUIL (née le 22 Messidor An V à MAREUIL, fille de Jean CREPIN et de Marie TRIBOULET).
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35 : Marie Christine CREPIN, née à MAREUIL le 22 Messidor An V, fille de Jean CREPIN et de Marie TRIBOULET), épouse Jean Baptiste HALATRE, le 7 Mai 1826 à MAREUIL (né le 18 Nivôse An V à MAREUIL, fils de Pierre HALATRE et de Marie DELEUZE).
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36 : Louis Joseph DIMPRE, marié à PELLE Marie Félicité,né le 23 mai 1787 à Maison Ponthieu, décédé le 25 mai 1840
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37 : Marie Félicité PELLE : mariée à Louis Joseph DIMPRE.
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38 : François BARRE, né à GUESCHART le 21 Janvier 1790, fils de Jean/Baptiste BARRE et de Genevieve DUFFOSSE), épouse en (1°) XXX LEGER, le 18 Décembre 1813 à GUESCHART,  en (2°) Marie PLANTE, le 19 Mars 1824 à ACQUET (née le 5 Mai 1786 à ACQUET, fille de Jean/Louis PLANTE et de Marie/Françoise FLAHAUT).
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39 : Marie PLANTE, née à ACQUET le 5 Mai 1786, fille de Jean Louis PLANTE et de Marie Françoise FLAHAUT, épouse en (1°) Nicolas PETIT, le 1 Janvier 1815 à ACQUET,  en (2°) François BARRE, le 19 Mars 1824 à ACQUET (né le 21 Janvier 1790 à GUESCHART, fils de Jean/Baptiste BARRE et de Genevieve DUFFOSSE).Décédée le 21 decembre 1853 à Neuilly le Dien.
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40 : Antoine PRUVOST, épouse Rose TROGNIEUX née le 30 Aout 1777 à VAULX, fille de Jacques François TROGNIEUX et de Marie Anne PETIT).
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41 : Rose TROGNIEUX, née à VAULX le 30 Aout 1777, fille de Jacques Jacques François TROGNIEUX et de Marie/Anne PETIT), épouse Antoine PRUVOST.
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44 : Jean François COSSIN, né à HIERMONT le 2 Pluviôse An X, fils de Nicolas COSSIN et de Agnesse BOUTRY, épouse Augustine COSSIN, le 20 Juillet 1830 à Acquet (née le 20 Messidor An VII à BERNATRE, fille de Charles COSSIN et de Henriette GERIN).
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45 : Augustine COSSIN, née à BERNATRE le 20 Messidor An VII, fille de Charles COSSIN et de Henriette GERIN, épouse Jean/François COSSIN, le 20 Juillet 1830 à Acquet (né le 2 Pluviôse An X à HIERMONT, fils de Nicolas COSSIN et de Agnesse BOUTRY).
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46 : BEHEN Pierre François ménager, marié à HERMANT Fleurine.Né le 5 mars 1780 à Haravesnes.
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47 : HERMANT Fleurine: mariée à BEHEN Pierre François
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48 : Pierre François MOURET, né à QUOEUX le 12 Janvier 1830, fils de Aimé MOURET et de Providentienne HERNU, épouse Céline PAILLART, le 30 Juin 1851 à QUOEUX (fille de Joseph PAILLART et de Désirée PETAIN).
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49 : Céline PAILLART, fille de Joseph PAILLART et de Désirée PETAIN), épouse PierreFrançois MOURET, le 30 Juin 1851 à QUOEUX (né le 12 Janvier 1830 à QUOEUX, fils de Aimé MOURET et de Providentienne HERNU).
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50 : Louis Eustache BALAVOINE, né à QUOEUX le 1 Juillet 1810, épouse MarieAnne MALLARD.
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51 : Marie Anne MALLARD, épouse Louis Eustache BALAVOINE (né le 1 Juillet 1810 à QUOEUX).
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52 : Casimir HUGO:né le 5 mars 1780 à Haravesnes,fils de HUGOT Valet et de Pélagie Vaux marié à GUYOT Mathilde.
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53 :  Mathilde GUYOT : mariée à Casimir HUGO.Décédée le 5 avril 1827
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54: Revillion Henri : né le 22 aout 1797 à Caumont, marié le 28 mai 1822 à Régnauville avec Marie Anne Lefebvre.
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55  Lefebvre Marie Anne : née le 3 floréal an III à Régnauville  mariée le 28 mai 1822 à Régnauville avec Revillion Henri
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56 : François Marie LANGLOIS, né à AUXY LE CHATEAU le 28 Aout 1814, décédé à AUXY LE CHATEAU le 2 Juillet 1852, fils de Pierre LANGLOIS et de Marie PETIT, épouse Catherine PETIT, le 19 Juillet 1842 à AUXY LE CHATEAU (née le 30 Janvier 1817, fille de Jean PETIT et de Géraldine TERNISSIEN).
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57 : Catherine PETIT, née le 30 Janvier 1817, fille de Jean PETIT et de Géraldine TERNISSIEN, épouse François Marie LANGLOIS, le 19 Juillet 1842 à AUXY LE CHATEAU (né le 28 Aout 1814 à AUXY LE CHATEAU et décédé le 2 Juillet 1852 à AUXY LE CHATEAU, fils de Pierre LANGLOIS et de Marie PETIT).
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58 : François Théodore CANDAS, né le 24 Juin 1814, fils de Pierre Messidore CANDAS et de Genevieve DECROIX, épouse Bassilisse CAYEUX le 25 juin 1844 à Auxy.Décédé le 9 mars 1872 à Auxy le Chateau.
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59 : Bassilisse CAYEUX, épouse François Théodore CANDAS (né le 24 Juin 1814, fils de Pierre Messidore CANDAS et de Genevieve DECROIX). Décédée le 31 mai 1895 à Auxy
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60 : François Procoppe CARPON, né à AUXY LE CHATEAU le 1 Germinal An IX, décédé à AUXY LE CHATEAU le 14 Novembre 1869, fils de François CARPON et de Catherine COUVILLERS), épouse Emilie POIRE, le 19 Février 1828 (née le 22 Messidor An XIII à WAVANT et décédée le 8 Aout 1871, fille de Charles POIRE et de Pélagie CROISELLE).
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61 : Emilie POIRE, née à WAVANT le 22 Messidor An XIII, décédée le 8 Aout 1871, fille de Charles POIRE et de Pélagie CROISELLE, épouse François Procoppe CARPON, le 19 Février 1828 (né le 1 Germinal An IX à AUXY LE CHATEAU et décédé le 14 Novembre 1869 à AUXY LE CHATEAU, fils de François CARPON et de Catherine COUVILLERS).
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62 : Pierre Louis BOURDON. né le 15 avril 1799 à BLENDECQUES Journalier, fils de BOURDON Pierre et de BARROIS Marie Thérése.Marié à Jansoone Virginie le 23 avril 1832 à Saint OMER.
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63 : Virginie JANSOONE. Née le 14 avril 1812 à BERGUES , fille de JANSOONE Jean Alexandre et de BECQUET Catherine Joséphine. Mariée à Pierre Louis Bourdon le 23 avril 1832 à Saint OMER.Décédé à Auxi le Chateau le 3 octobre 1899.
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64 : PRUDHOMME Jean Charles: né à Mareuil le 3 mars 1745,Décédé à ABBEVILLE le 2 septembre 1814, marié à DALLON Marie Anne.
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65 : DALLON Marie Anne mariée à PRUDHOMME Jean Charles, décédée le 29 mai 1795
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66 : XXXXX inconnu.
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67 : Marie Anne LAMY. née le 26 juin 1761 à Epagne Epagnette fille de LAMY Martin et de BELLOURD Marie Anne.
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68 : Pierre HALATRE. né à MAREUIL le 22 janvier 1769 marié à DELEUZE Marie. fils de Pierre HALATRE et de TRIBOULET Marie Anne
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69 : Marie DELEUZE. née à MAREUIL le 19 Décembre 1769 Fille de DELEUZE Louis et ROBART Marie Anne
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70 : Jean CREPIN, né à Mareuil le 9 juillet 1761, décédé à MAREUIL le 19 Décembre 1824, épouse Marie Rose TRIBOULET à MAREUIL le 13 fevrier 1787.
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71 : Marie Rose TRIBOULET, née le 5 novembre 1765 à Mareuil, épouse Jean CREPIN à MAREUIL (décédé le 19 Décembre 1824 à MAREUIL).
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72 : Joseph DIMPRE :né dans les années 1742, marié le 27 mai 1782 à Maison Ponthieu avec Gabrielle Vimeux.
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73 : Gabrielle VIMEUX : mariée avec Dimpre Joseph.
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76 : Jean Baptiste BARRE. Charpentier.Né  le 4 juillet 1743 à Gennes Yvergny, fils de BARRE François et LAVERDURE Marie Claire, époux de DUFFOSSE Genevieve le 17 11 1772 à GUESCHART. Décédé le 10 décembre 1795 à GUESCHART.
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77 : Genevieve DUFFOSSE.Epouse de Jean Baptiste BARRE le 17 11 1772 à GUESCHART.Décédée le 10 aout 1797 à GUESCHART.
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78 : Jean Louis PLANTE, né à ACQUET le 5 Février 1748, fils de Louis PLANTE et de Jeanne VAILLANT), épouse Marie Françoise FLAHAUT, le 20 Février 1776 à ACQUET (fille de Pierre FLAHAUT).
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79 : Marie Françoise FLAHAUT, fille de Pierre FLAHAUT née le 23 avril 1749, épouse Jean Louis PLANTE, le 20 Février 1776 à ACQUET (né le 5 Février 1748 à ACQUET, fils de Louis PLANTE et de Jeanne VAILLANT).
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80 : PRUVOST Alexis  fils de PRUVOST Jean et de LOISEL Françoise.Marié à TIRMARCHE Marie Françoise Justine le 6 fevrier 1776 à Fontaine l'Etalon
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81 : TIRMARCHE Marie Françoise Justine fille de TIRMARCHE Jean Louis et de THORILLON Marie Françoise, mariée le 6 fevrier 1776 à Fontaine l'Etalon à PRUVOST Alexis.
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82 : Jacques François TROGNIEUX, né à VAULX le 20 Janvier 1739, décédé à VAULX le 23 Décembre 1826, fils de Jacques TROGNIEUX et de Marie Anne BULOT), épouse Marie Anne PETIT, le 10 Septembre 1765 à VAULX (née le 6 Février 1742 à VAULX et décédée le 19 Janvier 1813 à VAULX, fille de Jean François PETIT et de Margueritte CARPENTIER).
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83 : Marie Anne PETIT, née à VAULX le 6 Février 1742, décédée à VAULX le 19 Janvier 1813, fille de Jean François PETIT et de Margueritte CARPENTIER, épouse Jacques Jacques François TROGNIEUX, le 10 Septembre 1765 à VAULX (né le 20 Janvier 1739 à VAULX et décédé le 23 Décembre 1826 à VAULX, fils de Jacques TROGNIEUX et de MarieAnne BULOT).
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88 : Nicolas COSSIN marié à Agnesse BOUTRY
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89 : Agnesse BOUTRY mariée à Nicolas COSSIN
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90 : Charles COSSIN, épouse Henriette GERIN à BERNATRE (décédée le 8 Juin 1829 à BERNATRE).
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91 : Henriette GERIN, décédée à BERNATRE le 8 Juin 1829, épouse Charles COSSIN à BERNATRE.
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92: BEHEN  Jean Baptiste marié avec CROISEL Marie Rose le 28 mai 1805 à Maison Ponthieu.
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93 : CROISEL Marie Rose, née le 28 mai 1805 (8 prairial an XIII)à Maison Ponthieu, mariée à BEHEN Jean Baptiste le 28 mai 1805 à Maison Ponthieu.
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94 : HERMANT Thomas marié à DEBRAY Augustine.valet de Charrue
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95 : DEBRAY Augustine mariée à HERMANT Thomas, décédé à Vaulx le 2 octobre 1831
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96 : Aimé MOURET, décédé à Haravesnes le 26 Avril 1849.Né à Le Souich le 24 octobre 1808, marié à Providentienne HERNU le 9 septembre 1829
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97 : Prudentienne HERNU mariée à Aimé MOURET le 9 septembre 1829 Né à Le Souich le 24 octobre 1808
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98 : Joseph PAILLART.
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99 : Désirée PETAIN.
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100: Etienne BALAVOINE marié à Marie Anne Josephe Alexandrine EVRARD
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101: Marie Anne Josephe Alexandrine EVRARD Marié à Etienne BALAVOINE
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104: Valet HUGOT marié à VAUX Pélagie
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105: Pélagie VAUX mariée à HUGOT Valet
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108 : Révillion Augustin : Marié avec Roussel Angélique. décédé le 19 thermidor an XIII à Régnauville.
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109 : Roussel Angélique : Mariée  avec Révillion Augustin
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110 : Lefebvre Dominique :Marié à Roussel Marie Rose. Décédé le 11 mars 1832 à Régnauville.
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111 : Roussel Marie Rose née à Régnauville le 17 avril 1756. Mariée à Lefebvre Dominique.Décédée à Régnauville le 11 novembre 1827.
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112 : Pierre LANGLOIS, né à AUXY le 13 Septembre 1790, décédé à AUXY LE CHATEAU le 27 Juin 1852, fils de Nicolas LANGLOIS et de Marie DERCOURT, épouse Marie PETIT à AUXY (née le 23 Juillet 1788 à AUXY et décédée le 28 Aout 1841 à AUXY LE CHATEAU, fille de D'Hyacinthe PETIT et de Marie COUVILLERS).
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113 : Marie PETIT, née à AUXY le 23 Juillet 1788, décédée à AUXY LE CHATEAU le 28 Aout 1841, fille de D'Hyacinthe PETIT et de Marie COUVILLERS, épouse Pierre LANGLOIS à AUXY (né le 13 Septembre 1790 à AUXY et décédé le 27 Juin 1852 à AUXY LE CHATEAU, fils de Nicolas LANGLOIS et de Marie DERCOURT).
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114 : Jean PETIT, né à AUXY LE CHATEAU le 30 Décembre 1788, fils de Joseph PETIT, épouse Géraldine TERNISSIEN à AUXY (née le 15 Aout 1791 à AUXY LE CHATEAU, fille de Nicolas TERNISSIEN).
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115 : Géraldine TERNISSIEN, née à AUXY LE CHATEAU le 15 Aout 1791, fille de Nicolas TERNISSIEN, épouse Jean PETIT à AUXY (né le 30 Décembre 1788 à AUXY LE CHATEAU, fils de Joseph PETIT).
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116 : Pierre Messidore CANDAS, né à AUXY LE CHATEAU le 5 Messidor An II, fils de Pierre Joseph CANDAS et de Marie TROGNEUX), épouse Genevieve DECROIX, le 26 Mai 1813 à AUXY (née le 22 Prairial An III à AUXY LE CHATEAU, fille de Antoine/joseph DECROIX).
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117 : Genevieve DECROIX, née à AUXY LE CHATEAU le 22 Prairial An III, fille de Antoine joseph DECROIX, épouse Pierre/Messidore CANDAS, le 26 Mai 1813 à AUXY (né le 5 Messidor An II à AUXY LE CHATEAU, fils de Pierre/Joseph CANDAS et de Marie TROGNEUX).
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118 : CAYEUX Jacques, né à AUXY le 8 juillet 1780,marié à NIVELLE Elisabeth le 31 octobre 1802 à Auxi le Chateau. fils de CAYEUX Pierre et DOMONT  Marie.
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119 : NIVELLE Elisabeth , née le 5 juillet 1780 à VAULX,marié à CAYEUX Jacques le 31 octobre 1802 à Auxi le Chateau.
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120 : François CARPON, né à HAMBYE le 1 Janvier 1777, décédé à AUXY LE CHATEAU le 18 Mai 1840, épouse Catherine COUVILLERS (née le 13 Aout 1783 à AUXY LE CHATEAU, fille de LouisFrançois LouisJoseph COUVILLERS et de MarieJeanne GAUDUIN).
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121 : Catherine COUVILLERS, née à AUXY LE CHATEAU le 13 Aout 1783, fille de LouisFrançois LouisJoseph COUVILLERS et de MarieJeanne GAUDUIN), épouse François CARPON (né le 1 Janvier 1777 à HAMBYE et décédé le 18 Mai 1840 à AUXY LE CHATEAU).
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122 : Charles POIRE, né à WAVANT le 19 Février 1779, décédé à WAVANT le 23 Février 1834, fils de PierreFrançois POIRE et de Rosalie LEFEBVRE), épouse Pélagie CROISELLE (décédée le 18 Février 1828, fille de Baptiste CROISELLE et de MarieAntoinette FLAHAUT).
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123 : Pélagie CROISELLE, décédée le 18 Février 1828, fille de Baptiste CROISELLE et de Marie Antoinette FLAHAUT, épouse Charles POIRE (né le 19 Février 1779 à WAVANT et décédé le 23 Février 1834 à WAVANT, fils de PierreFrançois POIRE et de Rosalie LEFEBVRE).
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124 : BOURDON Pierre Louis Cordonnier né le 25 juillet 1762 à BLENDECQUES, fils de BOURDON Pierre marié à BARROIS Marie Thérese le 03 septembre 1793 à Arques, Décédé le 23 avril 1840 à Blendecques.
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125 : BARROIS Marie Thérese marié à BOURDON Pierre Louis le 03 septembre 1793 à Arques,décédé à blendecques le 28 avril 1842.
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126 : JANSOONE Jean Alexandre journalier marié à BECQUET Catherine Joséphine.
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127 : BECQUET Catherine Joséphine mariée à JANSOONE Jean Alexandre
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128 : François PRUDHOMME, fils de PRUDHOMME Claude et de DUFOSSE Antoinette, né le 21 avril 1714 à  MAREUIL CAUBERT décédé le 9 aout 1758 à MAREUIL CAUBERT, marié avec LAMOTTE Marie Jeanne
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129 : Marie Jeanne LAMOTTE mariée a François PRUDHOMME
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130 : François DALLON meunier marié avec Marie Charlotte DUPREIS
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131 : Marie Charlotte DUPREIS  marié avec François DALLON meunier
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134 : Martin LAMY marié avec Marie Anne BELLOURD
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135 : Marie Anne BELLOURD mariée avec Martin LAMY
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136 : HALATRE Pierre né le 15 avril 1747, fils de HALATRE Antoine et de DENEUX Marie Rose, marié à TRIBOULET Marie Anne, décédé le 29 juillet 1816.
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137 : TRIBOULET Marie Anne mariée à HALATRE Pierre,
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138 : DELCUZE Louis marié avec ROBART Marie Anne le 27 juillet 1767
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139 : ROBART Marie Anne née le 4 novembre 1745, mariée avec DELEUZE Louis le 27 juillet 1767
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140 : CREPIN Thomas marié à DUVAL Elisabeth, décédé à Mareuil le 20 aout 1765.
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141 : DUVAL Elisabeth mariée à CREPIN Thomas, Décédée le 8 avril 1804 à Mareuil.
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142 : TRIBOULET Alexis fils de TRIBOULET Jean Charles et de ROBART Marie Catherine, marié à MINY Marie
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143 : MINY Marie marié à TRIBOULET Alexis
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144 : DIMPRE Louis né dans les années 1714 certainement à Maison Ponthieu, marié avec Croisel Rose.Décédé le 17 avril 1790 à Maison Ponthieu.
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145 : CROISEL Rose: Mariée avec Dimpre louis
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152 : François BARRE Laboureur décédé le 29 novembre 1772 à Gennes Ivergny,marié à LAVERDURE Marie Claire
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153 : LAVERDURE Marie Claire mariée à François BARRE
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154 : Jean Baptiste DUFFOSSE couvreur de Paille, fils de DUFFOSSE Antoine et de LEGRAND Marie né le 10 janvier 1706 à GUESCHART  marié à Marie Françoise MAILLARD le 7 mai 1737, décédé le 13 mai 1766 à GUESCHART.
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155 : Marie Françoise MAILLARD  fille de MAILLARD François et de DUFESTEL Marie,mariée à Jean Baptiste DUFFOSSE le 7 mai 1737,décédée le 16 octobre 1759 à GUESCHART.
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156 : Louis PLANTE, Manouvrier né à ACQUET le 17 Mai 1705, décédé à ACQUET le 18 Novembre 1771, fils de Jean PLANTE et de Gabrielle VASSEUR, épouse Jeanne VAILLANT, le 19 Janvier 1740 à ACQUET (née à MAISON PONTHIEU et décédée le 29 Mars 1783 à ACQUET, fille de Pierre VAILLANT).
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157 : Jeanne VAILLANT, née à MAISON PONTHIEU le 25 01 1705, décédée à ACQUET le 29 Mars 1783, fille de Pierre VAILLANT, épouse Louis PLANTE, le 19 Janvier 1740 à ACQUET (né le 17 Mai 1705 à ACQUET et décédé le 18 Novembre 1771 à ACQUET, fils de Jean PLANTE et de Gabrielle VASSEUR).
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158 : Pierre FLAHAUT, épouse , le 11 Juin 1748.Marie Decressent 
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159 : Marie Decressent mariée à Pierre FLAHAUT
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160 : PRUVOST Jean marié à LOISEL Françoise
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161 : LOISEL Françoise mariée à PRUVOST Jean
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162 : TIRMARCHE Jean Louis fils de TIRMARCHE Louis et de DENOYELLES Gabrielle marié à THORILLON Marie Thérése
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163 : THORILLON Marie Thérése mariée à TIRMARCHE Jean Louis.
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164 : Jacques TROGNIEUX, décédé à VAULX le 3 Février 1762. Fils de Jean TROGNIEUX et Marie Thérese LEFEBVRE.
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165 : Marie Anne BULOT, décédée à VAULX le 28 Octobre 1755, fille de Louis BULOT et de Marie Anne NIVELLE), épouse Jacques TROGNIEUX, le 28 Février 1732 à VAULX (décédé à VAULX, fils de Jean TROGNIEUX et de Marie Thérese LEFEBVRE).
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166 : Jean François PETIT, décédé à VAULX le 12 Mars 1770, fils de Jacques PETIT et de Marie LENGLOY, épouse Margueritte CARPENTIER, le 2 Septembre 1736 à VAULX (décédée le 15 Février 1776 à VAULX).
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167 : Margueritte CARPENTIER, décédée à VAULX le 15 Février 1776, épouse JeanFrançois PETIT, le 2 Septembre 1736 à VAULX (décédé le 12 Mars 1770 à VAULX, fils de Jacques PETIT et de Marie LENGLOY).
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184 : Jean Baptiste BEHEN : né le 6 octobre 1736 à Acquet,marié le 19 juillet 1774 ( Acquet) avec Marie Jeanne PLANTE
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185 : Marie Jeanne PLANTE née le 9 avril 1741, mariée avec Jean Baptiste BEHEN
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186 : Antoine François Croisel ou Croizelle né le 2 mai 1746 à Maison-Ponthieu,marié à Maison Ponthieu avec Marie Rose COSSIN le 31 juillet 1776.
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187: Marie Rose COSSIN , veuve de Jean Louis DELFEL, mariée à Antoine François Croisel ou Croizelle à Maison Ponthieu avec le 31 juillet 1776.
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192 : François Léger MOURET, Journalier,fils de MOURET Louis Alexis et de HENRY Marie Thérése né le 10 octobre 1782 à Le Souich,le 6 décembre 1819 à Haravesnes marié à Marie Antoinette LEFEVRE , décédé à HARAVESNES le 6 décembre 1819.
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193 : Marie Antoinette LEFEVRE mariée à François Léger MOURET
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194 : Pierre HERNU, décédé le 6 décembre 1815 à Haravesnes marié à Sophie Adélaide ROUSSEL le 29 janvier 1804.
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195 : Sophie Adélaide ROUSSEL mariée à Pierre HERNU e 29 janvier 1804 à Haravesnes.
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222: Roussel Jean François : Marié à Bourlard Anne Françoise
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223: Bourlard Anne Françoise: Mariée à Roussel Jean François.
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224 : Nicolas LANGLOIS, né à AUXY LE CHATEAU le 26 Octobre 1769, épouse Marie DERCOURT à AUXY.
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225 : Marie DERCOURT, épouse Nicolas LANGLOIS à AUXY (né le 26 Octobre 1769 à AUXY LE CHATEAU).
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226 : D'Hyacinthe PETIT, fils de Nicolas PETIT et de MarieAnne TOULOUSE), épouse Marie COUVILLERS, le 11 Mars 1782 à AUXY.
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227 : Marie COUVILLERS, épouse D'Hyacinthe PETIT, le 11 Mars 1782 à AUXY (fils de Nicolas PETIT et de Marie Anne TOULOUSE).
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228 : Joseph PETIT.marié à Marie Genevieve PILON
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229 : Marie Genevieve PILON mariée à Joseph PETIT
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230 : Nicolas TERNISSIEN marié à Marie Josephe PETIT
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231 : Marie Josephe PETIT mariée à Nicolas TERNISSIEN
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232 : Pierre Joseph CANDAS, décédé à AUXY LE CHATEAU le 18 Juillet 1810, fils de Jean Baptiste CANDAS et de Marie BACLET), épouse Marie TROGNEUX, le 4 Aout 1772 à AUXY LE CHATEAU (née le 18 Février 1752 à AUXY LE CHATEAU et décédée le 24 Novembre 1837 à AUXY LE CHATEAU, fille de Pierre TROGNEUX et de MarieAngélique LENOIR).
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233 : Marie TROGNEUX, née à AUXY LE CHATEAU le 18 Février 1752, décédée à AUXY LE CHATEAU le 24 Novembre 1837, fille de Pierre TROGNEUX et de MarieAngélique LENOIR), épouse Pierre/Joseph CANDAS, le 4 Aout 1772 à AUXY LE CHATEAU (décédé le 18 Juillet 1810 à AUXY LE CHATEAU, fils de JeanBaptiste CANDAS et de Marie BACLET).
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234 : Antoine Joseph DECROIX, né à AUXY le 2 Février 1751, décédé à AUXY le 10 Octobre 1830, fils de Jacques Jacques/joseph DECROIX et de Marie DUCROCQ), épouse Marie/Louise PLOYART, le 19 Frimaire An III à AUXY.
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235 : PLOYART Marie née le 4 décembre 1752, Décédée le 16 MARS 1831.Mariée avec Antoine Joseph DECROIX le 9 décembre 1794
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236 : CAYEUX Pierre né à AUXY le 13 JANVIER 1737 Fils de CAYEUX Charles et LECAPPE Marie, marié le 7 octobre 1770 avec DOMONT Marie
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237 : DOMONT Marie fille de DOMONT Louis et de LEGRIS Marie marié le 7 octobre 1770 avec CAYEUX Pierre.
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238 : Pierre NIVELLE marié à Marie Reine LEFEBVRE
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239 : Marie Reine LEFEBVRE mariée à Pierre NIVELLE
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240 : CARPON Julien Roger marié à LEFRANC Louise le 6 fevrier 1766 à HAMBYE.
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241 : LEFRANC Louise marié à CARPON Julien Roger le 6 fevrier 1766 à HAMBYE.
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242 : Louis François Louis Joseph COUVILLERS, né à AUXY LE CHATEAU le 1 Juin 1750, fils de Charles COUVILLERS et de MarieAnne LAMOURETTE), épouse MarieJeanne GAUDUIN, le 17 Novembre 1778 (née le 14 Octobre 1750 à AUXY LE CHATEAU, fille de Antoine GAUDUIN et de MarieAngélique LEQUIEN).
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243 : Marie Jeanne GAUDUIN, née à AUXY LE CHATEAU le 14 Octobre 1750, fille de Antoine GAUDUIN et de MarieAngélique LEQUIEN), épouse LouisFrançois LouisJoseph COUVILLERS, le 17 Novembre 1778 (né le 1 Juin 1750 à AUXY LE CHATEAU, fils de Charles COUVILLERS et de MarieAnne LAMOURETTE).
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244 : Pierre François POIRE, décédé le 29 Frimaire An X, fils de Pierre POIRE et de Margueritte MORELLE), épouse Rosalie LEFEBVRE (décédée le 26 Octobre 1809).
(Notes : 20/12/1801 Correspond dans le calendrier républicain à 29 frimaire an X)
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245 : Rosalie LEFEBVRE, décédée le 26 Octobre 1809, épouse Pierre François POIRE (décédé le 29 Frimaire An X, fils de Pierre POIRE et de Margueritte MORELLE).
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246 : Jean CROISELLE marié à Marie Antoinette FLAHAUT
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247 : Marie Antoinette FLAHAUT mariée à Jean CROISELLE.
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248 : BOURDON Pierre fils de BOURDON Jean Baptiste et TIRMARCHE Marie Margueritte, marié à AMBITTE Anne Margueritte.
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249 : AMBITTE Anne Margueritte fille de AMBITTE Jean Baptiste et de Noelle VALEMBOIS, mariée à BOURDON Pierre
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250 : BARROIS Liévin marié à VACHEU Marie Catherine le 4 février 1755 à Arques.
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251: VACHEU Marie Catherine mariée le 4 février 1755 à Arques avec BARROIS Liévin.
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256 : PRUDHOMME Claude , né en 1684 à Bailleul décédé le 8 janvier 1751 à Mareuil Caubert, marié avec Dufossé Antoinette le 5 aout 1704.Naissance présumée sur Bailleul vers 1684.
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257: DUFOSSE Antoinette mariée à PRUDHOMME Charles le 5 aout 1704.
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272 : Antoine HALATRE mariée à Marie Rose DENEUX
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273 : Marie Rose DENEUX mariée à Antoine HALATRE
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284 :TRIBOULET Jean Charles fils de TRIBOULET Jean et de PORQUET Bonne, marié à ROBART Marie Catherine
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285 : ROBART Marie Catherine : marié à TRIBOULET Jean Charles.
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308 : DUFOSSE Antoine tisserand, marié avec LEGRAND Marie  à Gueschart..
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309:  LEGRAND Marie mariée avec DUFOSSE Antoine à Gueschart.Née à Gueshart le 25 octobre 1672.
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310 : MAILLARD François marié à DUFESTEL Marie , né le 21 septembre 1683 à Gueschart.
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311 : DUFESTEL Marie mariée à MAILLARD François, née le 27 juillet 1677 à Gueschart.
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312 : Jean PLANTE marié à Gabrielle VASSEUR.
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313 : Gabrielle VASSEUR mariée à Jean PLANTE.
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314 : Pierre VAILLANT marié à Adrienne LEFEBVRE
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315 : Adrienne LEFEBVRE marié à Pierre VAILLANT
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318: DECRESSENT Nicolas marié à GAMBIER Françoise.
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319 : GAMBIER Françoise mariée à DECRESSENT Nicolas.
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324 : TIRMARCHE Louis marié à DENOYELLES Gabrielle.
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325 : DENOYELLES Gabrielle mariée à TIRMARCHE Louis
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328 : Jean TROGNIEUX fils de TROGNEUX Nicolas Décédé à Vaulx le 7 avril 1722.
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329 : Marie Thérese LEFEVBRE Décédée à Vaulx le 28 décembre 1754.
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330 : Louis BULOT, épouse Marie Anne NIVELLE (décédée le 6 Octobre 1759 à VAULX).
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331 : Marie Anne NIVELLE, décédée à VAULX le 6 Octobre 1759, épouse Louis BULOT.
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332 : Jacques PETIT, marié à Marie LENGLOY, décédé le 15 Janvier 1740 à VAULX.
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333 : Marie LENGLOY mariée à Jacques PETIT.
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368 : Jean Baptiste BEHEN :Marié avec Marie Jeanne GAMBIER, décédé à Acquet le 6 novembre 1739.
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369 : Marie Jeanne GAMBIER , Mariée avec Jean Baptiste BEHEN.
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370 : Louis PLANTE : Marié le 19 janvier 1740 à Acquet avec Jeanne VAILLANT.
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371: Jeanne VAILLANT :Née le 25 janvier 1705 à Maison Ponthieu, Mariée le 19 janvier 1740 à Acquet avec  Louis PLANTE.Décédée le 29 mars 1783.
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372 : JEan CROISEL ou CROIZELLE marié à Marie Louise DEBRAILLY le 28 janvier 1741 à Maison Ponthieu.
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373 : Marie Louise DEBRAILLY Mariée à JEan CROISEL ou CROIZELLE
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374 : Jean COSSIN:
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384 : Louis Alexis MOURET.né le 25 mars 1752 à Le Souich,domestique de charrue,marié à Marie Thérése HENRY le 2 octobre 1781 à LE SOUICH, décédé à Le SOUICH le 11 mars 1833.
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385 : Marie Thérése HENRY marié à Louis Alexis MOURET le 2 octobre 1781 à LE SOUICH.
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448 : LANGLOIS Antoine François fils de LANGLOIS André François, mariée à DERCOURT Jeanne Françoise.
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449 : DERCOURT Jeanne Françoise fille de DERCOURT Jacques et de BRIOIS Marie Margueritte mariée à LANGLOIS  Antoine François.
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452 : Nicolas PETIT, fils de Mathieu PETIT et de Marie HURTET, épouse Marie Anne TOULOUSE, le 25 Mars 1754 à AUXY LE CHATEAU (née à AUXY LE CHATEAU, fille de François TOULOUSE et de Marie DUFETEL).
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453 : Marie Anne TOULOUSE, née à AUXY LE CHATEAU, fille de François TOULOUSE et de Marie DUFETEL, épouse Nicolas PETIT, le 25 Mars 1754 à AUXY LE CHATEAU (fils de Mathieu PETIT et de Marie HURTET).
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454 : François COUVILLERS marié à Barbe BREDENRADE
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455 : Barbe BREDENRADE mariée à  François COUVILLERS
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462 : PETIT Jacques marié avec PILATE Genevieve
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463 : PILATE Geneviéve mariée avec PETIT Jacques.
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464 : Jean Baptiste CANDAS, né à ROUGEFAY, fils de Martin CANDAS et de Catherine DUFOUR, épouse Marie BACLET, le 15 Février 1746 à AUXY (décédée le 25 Février 1780, fille de Jean BACLET et de MarieAnne FOURDRIN).
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465 : Marie BACLET, décédée le 25 Février 1780, fille de Jean BACLET et de MarieAnne FOURDRIN, épouse JeanBaptiste CANDAS, le 15 Février 1746 à AUXY (né à ROUGEFAY, fils de Martin CANDAS et de Catherine DUFOUR).
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466 : Pierre TROGNEUX, décédé à AUXY LE CHATEAU.
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467 : Marie Angélique LENOIR.
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468 : Jacques Joseph DECROIX, né à AUXY LE CHATEAU le 17 Novembre 1723, (fils de Joseph DECROIX et de Marie BACON), épouse Marie DUCROCQ, le 26 Janvier 1750 à AUXY (née le 3 Octobre 1721 à AUXY LE CHATEAU, fille de Jean DUCROCQ et de Marie TAHON).
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469 : Marie DUCROCQ, née à AUXY LE CHATEAU le 3 Octobre 1721, fille de Jean DUCROCQ et de Marie TAHON, épouse Jacques Joseph DECROIX, le 26 Janvier 1750 à AUXY (né le 17 Novembre 1723 à AUXY LE CHATEAU, fils de Joseph DECROIX et de Marie BACON).
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472 : CAYEUX Charles marié à Marie LECAPPE
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473 : Marie LECAPPE mariée à CAYEUX Charles
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474 : DOMONT Louis marié à Marie LEGRIS
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475 : Marie LEGRIS marié à DOMONT Louis
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484 : Charles COUVILLERS. Maçon, fils de Charles COUVILLERS et de DUEZ Marie Adrienne, marié le 2 janvier 1731 à LAMOURETTE Marie Anne à FREVENT, décédé le 3 decembre 1712 à FREVENT.
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485 : Marie Anne LAMOURETTE fille de LAMOURETTE Adrien et de LEFEBVRE Marie Philippe , mariée à Charles COUVILLERS.
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486 : Antoine GAUDUIN, Cordonnier, épouse de Marie LEQUIEN, le 26 Janvier 1743 à BEAUVOIR (fille de Pierre LEQUIEN et de TAHON), 
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487 : Marie Angélique LEQUIEN, fille de LEQUIEN Pierre et de TAHON Marie Jeanne , née le 14 fevrier 1752 à AUXY LE CHATEAU,épouse Antoine GAUDUIN.
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488 : Pierre POIRE, décédé le 25 Mars 1737, épouse Margueritte MORELLE.
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489 : Margueritte MORELLE, épouse Pierre POIRE (décédé le 25 Mars 1737).
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496 : BOURDON Jean Baptiste marié à TIRMARCHE Marie Margueritte
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497 : TIRMARCHE Marie Margueritte mariée à BOURDON Jean Baptiste.
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498 : AMBITTE Jean Baptiste fils de AMBITTE Marc et de MARTEL Marie né le 20 juillet 1701 à BLENDECQUES, marié à VALEMBOIS Noelle le 11 juillet 1726 à BLENDECQUES, décédé le 16 fevrier 1760 à BLENDECQUES.
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499 : VALEMBOIS Noelle  fille de VALEMBOIS André et de FALLENTIN Marie, mariée à AMBITTE Jean Baptiste le 11 juillet 1726 à BLENDECQUES, décédée le 13 janvier 1776 à BLENDECQUES
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500 : BARROIS Claude Henry né à INGHEM le 28 janvier 1693, marié le 16 janvier 1726 à Racquimghem avec MOTTE Marie Anne.
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501 : MOTTE Marie Anne mariée à BARROIS Claude Henry le 16 janvier 1726 à Racquimghem, décédée le 9 septembre 1780.
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502 : VACHEU Noel marié avec CANU Marie Jeanne.
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503 : CANU Marie Jeanne mariée avec VACHEU Noel
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512 : PRUDHOMME Pierre marié à VIGNEUX Anne.
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513 : VIGNEUX Anne mariée à PRUDHOMME Pierre
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514: DUFOSSE Jean marié à FRANCOIS Françoise
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515 : FRANCOIS Françoise mariée à DUFOSSE Jean.
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544 : Jacques HALATRE fils de Antoine HALATRE et de JOLY Marie, marié à Margueritte LEROY le 30 avril 1699 à MAREUIL CAUBERT,décédé le 20 octobre 1710.
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545 : Margueritte LEROY fille de LEROY Adrien et de LEFEVRE Marie mariée à Jacques HALATRE le 30 avril 1699 à MAREUIL CAUBERT.Décédée le 19 mars 1742 à MAREUIL CAUBERT.
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546 : DENEUX Pierre:
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547: PRUVOST Françoise:
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568 : TRIBOULET Jean marié à PORQUET Bonne
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569 : PORQUET Bonne mariée à TRIBOULET Jean
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616 : DUFOSSE Claude, marié à BRIARD Margueritte
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617 : BRIARD Margueritte fille de BRIARD Adrien et de LAMOURY Jeanne, mariée à DUFOSSE CLaude décédée le 9 février 1705 à GUESCHART.
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618 : LEGRAND Pierre Laboureur fils de LEGRAND Antoine et de NIVELLE Catherine, marié à GRENU Antoinette le 15 octobre 1672 à GUESCHART, décédé à GUESCHART le 14 octobre 1678.
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619 :GRENU Antoinette fille de GRENU Noel et de LAMOURY Françoise, mariée à LEGRAND Pierre le 15 octobre 1672 à GUESCHART.
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620 : MAILLART François Berger, marié à LEROY Antoinette le 22 novembre 1671 à GUESCHART,décédé le 17 octobre 1707 à GUESCHART.
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621 : LEROY Antoinette mariée à MAILLART François le 22 novembre 1671 à GUESCHART.
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622 : DUFESTEL Philippe maitre charron, marié à DELAMOTTE Marie
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623 : DELAMOTTE Marie marié à DUFESTEL Philippe, décédée le 27 aout 1706 à GUESCHART.
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656 : TROGNEUX Nicolas:
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740 : Louis PLANTE marié avec Gabrielle Vasseur .
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741 : Gabrielle Vasseur mariée avec Louis PLANTE.
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742 : Pierre VAILLANT : marié avec Adrienne LEFEBVRE.
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743 : Adrienne LEFEBVRE: mariée à Pierre VAILLANT
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744: Robert CROISEL OU CROIZELLE mariée à Antoinette "MATHIEU"
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745: Antoinette "MATHIEU"
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746 : Adrien DEBRAILLY marié à Catherine "BUQUET"
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747 : Catherine "BUQUET"
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768 : Louis MOURET,domestique de charrue, né le 9 juillet 1717 à Le Souich, époux de PARENT Marie Antoinette.
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769 : Marie Antoinette PARENT : née le 27 avril 1721 à Le Souich, ménagére, mariée à MOURET Louis, décédée le 17 juillet 1802 à Le Souich.
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770 : Pierre Antoine HENRY : né le  9 juillet 1727 à Le SOUICH, marié à Cécile BALAVOINE,décédé le 3 novembre 1800 à Le SOUICH
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771 : Cécile BALAVOINE : marié à Pierre Antoine HENRY
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896 : LANGLOIS André François fils de LANGLOIS André et de MARTIN Marie Anne, marié à LASSU Marie Françoise
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897 : LASSU Marie Françoise mariée à LANGLOIS André François.
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898 : DERCOURT Jacques fils de DERCOURT Jacques et de DACQUET Margueritte, marié à BRIOIS Marie Margueritte le 29 janvier 1732 à AUXY LE CHATEAU.
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899 : BRIOIS Marie Margueritte mariée à DERCOURT Jacques
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904 : Mathieu PETIT.
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905 : Marie HURTET.
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906 : François TOULOUSE, décédé à AUXY LE CHATEAU.
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907 : Marie DUFETEL.
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928 : Martin CANDAS, épouse Catherine DUFOUR, le 21 Juin 1712 à BUIRE (née le 6 Novembre 1686 à BUIRE AU BOIS, fille de Martin DUFOUR et de Jeanne PRUVOST).
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929 : Catherine DUFOUR, née à BUIRE AU BOIS le 6 Novembre 1686, fille de Martin DUFOUR et de Jeanne PRUVOST), épouse Martin CANDAS, le 21 Juin 1712 à BUIRE.
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930 : Jean BACLET.
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931 : Marie Anne FOURDRIN.
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936 : Joseph DECROIX, épouse Marie BACON, le 30 Septembre 1721.
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937 : Marie BACON, épouse Joseph DECROIX, le 30 Septembre 1721, décédée le 19 juin 1762 à Auxy le Chateau.
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938 : Jean DUCROCQ, ( fils de Jean DUCROCQ et de Gabrielle FAUCHOY), épouse Marie Marguerite TAHON le 12 octobre 1716 à Auxy.Né à Auxy vers les 1683.
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939 : Marie Marguerite TAHON, épouse Jean DUCROCQ.Epouse Jean Ducrocq le 12 octobre 1716 à Auxy , peut etre née à Buire le bois.
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968 : Charles COUVILLERS maitre maçon décédé le 27 février 1740 à FREVENT, marié à Marie Adrienne DUEZ
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969 : Marie Adrienne DUEZ mariée à Charles COUVILLERS, née le 14 mai 1674 à FREVENT, décédée à FREVENT le 29 juillet 1742
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970 : LAMOURETTE Adrien peigneur en laine, marié à LEFEBVRE Marie Philippe, décédé le 31 octobre 1755 à FREVENT
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971 : LEFEBVRE Marie Philippe, mariée à LAMOURETTE Adrien, décédée à FREVENT le 3 janvier 1751.
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972 : François GAUDUIN : marié à Margueritte LECOUVEE
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973 : Margueritte LECOUVEE mariée à François GAUDUIN
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974 : LEQUIEN Pierre :
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975 : TAHON Marie Jeanne
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996 : AMBITTE Marc marié à MARTEL Marie le 14 fevrier 1686 à BLENDECQUES, décédé le 15 octobre 1710 à SAINT OMER.
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997: MARTEL Marie fille de MARTEL Etienne Francois et de Marie DUPONT, mariée à AMBITTE Marc le 14 fevrier 1686 à BLENDECQUES, décédée le 28 janvier 1725 à BLENDECQUES.
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998: VALAMBOIS André marié à FALLENTIN Marie
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999 : FALLENTIN Marie mariée à VALAMBOIS André
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1000 : BARROIS Jean Décédé le 12/7/1703  à INGHEM marié à DUCATEL Marie
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1001 : DUCATEL Marie mariée à BARROIS Jean, décédée le 8/12/1708 à INGHEM.
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1002 : MOTTE François marié à REINAUD Marie Jeanne
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1003 : REINAUD Marie Jeanne mariée à MOTTE François
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1088 : Antoine HALATRE marié à Marie JOLY
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1089 : Marie JOLY mariée à Antoine HALATRE
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1090 : LEROY Adrien marié à LEFEVRE Marie
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1091 : LEFEVRE Marie marié à LEROY Adrien
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1234 : BRIARD Adrien marié à LAMOURY Jeanne
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1235 : LAMOURY Jeanne mariée à BRIARD Adrien
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1236 : LEGRAND Antoine Laboureur marié à NIVELLE Catherine, décédé  le 22 octobre 1677 à GUESCHART.
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1237 : NIVELLE Catherine marié à LEGRAND Antoine, décédée le 12 octobre 1688 à GUESCHART.
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1238 : GRENU Noel manouvrier,marié à LAMOURY Françoise, décédé le 28 avril 1696 à GUESCHART.
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1239 : LAMOURY Françoise marié à GRENU Noel, décédée le 28 avril 1696 à GUESCHART.
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1536 :Antoine Guislain MOURET né vers les années 1675, marié à Anne COTTRANT, décédé le 11 janvier 1741 à LE SOUICH.
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1537 :Anne COTTRANT marié à Antoine Guislain MOURET,née vers les années 1681, décédée le 19 décembre 1742 à LE SOUICH
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1538 :Jacques PARENT: né vers 1684, tailleur décédé le 2 février 1744. Marié à LEBOUT Marie Jeanne
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1539 :LEBOUT Marie Jeanne marié à Jacques PARENT,née vers les années 1679,décédée le 24 juillet 1729
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1540 : Pierre HENRY marié à Marie CLERET
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1541 : Marie CLERET née le 24 avril 1704, décédée le 11 fevrier 1766
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1792 : LANGLOIS André charron, marié à MARTIN Marie Anne
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1793 : MARTIN Marie Anne mariée à LANGLOIS André, décédée le 26 janvier 1741 à ROLLENCOURT
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1796 : DERCOURT Jacques fils de DERCOURT François et de MEUNIER Jeanne, marié à DACQUET Margueritte le 3 janvier 1703 à AUXY LE CHATEAU, décédé le 20 octobre 1743 à AUXY LE CHATEAU.
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1797 : DACQUET Margueritte mariée à DERCOURT Jacques
-------------
1856 : Martin CANDAS marié à Agnés VIN
-------------
1857 : Agnés VIN mariée à Martin CANDAS
-------------
1858 : Martin DUFOUR, épouse Jeanne PRUVOST, le 8 Novembre 1678 à ROUGEFAY.
-------------
1859 : Jeanne PRUVOST, épouse Martin DUFOUR, le 8 Novembre 1678 à ROUGEFAY.
-------------
1876 : Antoine  DUCROCQ,Tisserand. Marié à Marie Cailly.
-------------
1877 : Marie Cailly. Mariée à Antoine Ducrocq
-------------
1878 : Jean Baptiste TAHON : Né dans les années 1675 à Buire au Bois, marié à PERDU Louise.
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1879: Louise PERDU : née vers les 1680 à Villers l'Hopital, mariée à Jean Baptiste TAHON
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1936 : Pierre COUVILLERS marié à Marie VAMALLE
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1937 : Marie VAMALLE mariée à Pierre COUVILLERS
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1938 : Louis DUEZ marié à Catherine SOUVERAIN
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1939 : Catherine SOUVERAIN mariée à Louis DUEZ
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1946 : LECOUVEE Antoine marié à DUFOUR Françoise
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1947 : DUFOUR  Françoise mariée à LECOUVEE Antoine
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1994 : MARTEL Etienne François fils de MARTEL Philippe et de FIOLLET Anne, né le 10 janvier 1635 à BLENDECQUES, marié à DUPONT Marie, décédé le 12 mai 1688 à BLENDECQUES.
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1995 : DUPONT Marie née le 4 mai 1633 à BLENDECQUES, mariée à BLENDECQUES avec MARTEL Etienne François, décédée le 4 juillet 1696 à BLENDECQUES.
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3072 : Antoine MOURET tisserand marié à Catherine RENON.
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3073 : Catherine RENON  fille de RENON Antoine et de LAISNE Isabeau mariée à Antoine MOURET
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3074 : Antoine COTTRANT fils de COTTRANT Jean et de HULOTTE Jeanne , marié à DELANNOY Marie décédé le 25 juin 1710 à LE SOUICH
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3075 : DELANNOY Marie marié à Antoine COTTRANT, décédée le 4 juin 1710 à LE SOUICH.
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3076 : Antoine PARENT né vers les années 1639 marié à Jeanne DAULLE.Décédé le 1 er mai 1694 à LE SOUICH.
-------------
3077 : Jeanne DAULLE mariée à Antoine PARENT née vers les années 1638,décédée le 29 septembre 1728 à LE SOUICH.
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3078 : LEBOUT marié à Jeanne LEBLANC
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3079 : Jeanne LEBLANC mariée à LEBOUT
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3082 : Nicolas CLERET décédé en 1709, marié à Marie DEMARQUET
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3083 : Marie DEMARQUET née vers les années 1669 marié à Nicolas CLERET, décédée le 4 juin 1720.
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3592 : DERCOURT François marié à MEUNIER Jeanne
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3593 : MEUNIER Jeanne marié à DERCOURT François
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3594 : DACQUET Pierre marié à SOMBRET Marie
-------------
3596 : SOMBRET Marie mariée à DACQUET Pierre
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3752 : Gabriel DUCROCQ époux de Anne SANNIER
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3753 : Anne SANNIER épouse de Gabriel DUCROCQ
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3756 : Antoine PERDU : né à ?? Wavans sur Authie, marié à ANSELIN Guilaine.
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3757 : Guilaine ANSELIN: mariée à Antoine PERDU
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3988: MARTEL Philippe : né vers les années 1590 à Blendecques, décédé vers lesannée 1634, marié à FIOLET Anne
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3989 : FIOLET Anne née vers les années 1604, mariée à MARTEL Philippe.
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6144 : MOURET Pierre marié à MOUQUET Jeanne
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6145 : MOUQUET Jeanne mariée à MOURET Pierre
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6146: RENON Antoine marié à LAISNE Isabeau
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6147 : LAISNE Isabeau mariée à RENON Antoine,décédée à Le Souich le 3 aout 1685.
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6148 : Jean COTTRANT fils de COTTRAN Jacques marié à Jeanne HULOTTE
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6149 : Jeanne HULOTTE mariée à Jean COTTRANT
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6152 : Jean PARENT marié avec Marie BALAVOINE
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6153 : Marie BALAVOINE mariée avec Jean PARENT
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6164 : CLERET Nicolas marié à DELANNOY Margueritte.
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6165 : DELANNOY Margueritte mariée à CLERET Nicolas
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6166 : Louis DEMARQUET décédé le 6 aout 1702marié avec Marie GILLON
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6167 : Marie GILLON née en 1643, décédée le 11 novembre 1718, mariée a Louis DEMARQUET
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7512: Gilles PERDU: marié à Marie DEHOL.
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7513 : Marie DEHOL mariée à Gilles PERDU
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12296: COTTRANT Jacques
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12304: Crépin PARENT Laboureur marié à Marie LEONARD
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12305: Marie LEONARD mariée à Crépin PARENT
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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 18:37

Une branche trés dure à trouver, aujourd'hui 3 bonnes heures de recherche sur internet. Sur internet car tous les actes sont sur le site des Archives de la Somme.

 

 

 

 

          DIMPRE Joseph
        72 N 28/02/1743  
  VIMEUX Gabrielle
   
36 Dimpre Louis Joseph 146
N 23/05/1787 D 25/05/1840 147
18 Dimpre Pierre
N 9/8/1817 D ???
Pelle Marie Félicité  
37 N 15/04/1787    
Pelle Barnabé  
73    
74 Bailly Félicité  
   
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12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 18:06

Grace à internet et le site des Archives de la Somme, j'ai retrouvé aujourd'hui le plus ancien des Prudhomme. Il s'agit en l'occurence de PRUDHOMME Pierre certainement né aux alentours de 1650, marié à Anne VIGNEUX ( orthographe à confirmer) et naissance le 9 novembre 1683 à Bailleul ( 80) de Claude PRUDHOMME marié le 5 aout 1704 à Mareuil-Caubert paroisse Saint christophe avec Antoinette DUFOSSE, Claude est mort à Mareuil Caubert le 8 janvier 1751.

         
    512 Prudhomme Pierre
       
256 Prudhomme Claude
N 9/11/1683 D 08/01/1751
Vigneux Anne  
513    
         

Les numéros correspondent au numero de Sosa

 

 

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