Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 21:50

CLERET

 

Origine du nom :

 

Cléret    Le nom est porté dans des régions assez diverses (62, 63, 78, 50 notamment). On a le choix entre deux possibilités : soit un diminutif du prénom Clair, soit un toponyme avec le sens probable de petit étang.

 

SITUATION GEOGRAPHIQUE :

 

Le Souich

 

Village de 505 habitants du canton d’Avesnes le Comte, arrondissement d’Arras St Pol en Ternoise Eglise SAINT Nicolas peut être de 1632 ou 1639 composée d’un maître hôtel en bois du XVIII siècle

 

SUS SAINT LEGER :

 

Commune de l’arrondissement d’Arras, 62  Pas de Calais, altitude qui varie de 118 m à 167 m, du canton d’Avesnes le Comte

 

FAMILLE CLERET

 

Dans l’arbre Généalogique le premier Cleret  que l’on trouve est, Nicolas marié à DELANNOY  Margueritte, un garçon de cette union qui portera le même prénom que son père, Nicolas décédé en 1709, il se marie avec  Demarquet  Marie, de cette union un enfant CLERET Marie Madeleine  née en 1704 et mariée à Pierre HENRY, de cette union un fils Pierre Antoine. Marie est décédée en 1766.

 

N 1704 LOUIS XIV Roi de France :

 

Le pape Clément XI condamne les rites chinois introduits en Chine par les jésuites français qui avaient ainsi propagé la religion catholique à travers la Chine.

 

9 mars : L’archiduc Charles, fils de l’Empereur Léopold I er, reconnu roi d’Espagne par le Portugal, débarque à Lisbonne grâce à l’aide de la flotte anglaise. Louis XIV envoie des troupes de secours commandées par le maréchal de Berwick.

 

13 aout : Victoire des impériaux commandés par le Prince Eugene et le duc de Marlborough sur les franco-bavarois à Höchstädt.

 

17 mai : Jean Cavalier, chef des Camisards, et le Marechal de Villars signent la paix après la victoire des troupes royales le 16 avril. Les protestants pourront s’expatrier et les prisonniers seront libérés. Jean Cavalier fait sa soumission contre de substantiels avantages, tandis que Rolland autre chef Camisard, reprend le combat jusqu’à la capitulation définitive en octobre.

 

D 1709 LOUIS XIV Roi de France

 

Janvier février : terrible hiver, qui engendre au printemps une terrible famine, suivies par des émeutes paysannes.

 

Octobre : Le Roi décide de raser le couvent de Port royal des Champs.

En juin : le maréchal De Villars arrête les coalisés entre la Lys et l’Escaut.

 

11 septembre : bataille de Malplaquet, indécise et terriblement meurtrière environ 30 000 morts. Villars, dont l’armée a moins souffert, abandonne le terrain a l’ennemi commandé par le prince Eugène et le duc de Marlborough, qui ne peuvent exploiter leur avantage. Chaque camp s’attribue la victoire.

 

 

D 1766 : LOUIS XV Roi de France

 

Turgot, intendant du Limousin depuis1761, publie ses Réflexions sur la formation et la distribution des richesses

Boucher est nommé premier peintre du Roi.

 

23 février 1766 : Mort à Lunéville de Stanislas Leszczynski roi de Pologne en exil

 

3 mars 1766 : Séance de flagellation au cours d’une séance officielle Louis XV rappelle au parlement qu’il est maître du pouvoir législatif

 

1 er juillet 1766 : Exécution à Abbeville du Chevalier de la Barre, pour sacrilège.

 

 

Partager cet article
Repost0
4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 19:37
67 : Marie Anne LAMY. née le 26 juin 1761 à Epagne Epagnette fille de LAMY Martin et de BELLOURD Marie Anne.
-------------
68 : Pierre HALATRE. né à MAREUIL le 22 janvier 1769 marié à DELEUZE Marie. fils de Pierre HALATRE et de TRIBOULET Marie Anne
-------------
69 : Marie DELEUZE. née à MAREUIL le 19 Décembre 1769 Fille de DELEUZE Louis et ROBART Marie Anne
-------------
70 : Jean CREPIN, décédé à MAREUIL le 19 Décembre 1824, épouse Marie TRIBOULET à MAREUIL.
-------------
71 : Marie TRIBOULET, épouse Jean CREPIN à MAREUIL (décédé le 19 Décembre 1824 à MAREUIL).
-------------
72 : ???????????
-------------
73 ?????????????
-------------
74 ?????????????
------------
75 ?????????????
------------
76 : Jean Baptiste BARRE. Charpentier.Né vers le 4 juillet 1743 à Gennes Yvergny, fils de BARRE François et LAVERDURE Marie Claire, époux de DUFFOSSE Genevieve le 17 11 1772 à GUESCHART. Décédé le 10 décembre 1795 à GUESCHART.
-------------
77 : Genevieve DUFFOSSE.Epouse de Jean Baptiste BARRE le 17 11 1772 à GUESCHART.Décédée le 10 aout 1797 à GUESCHART.
-------------
78 : Jean Louis PLANTE, né à ACQUET le 5 Février 1748, fils de Louis PLANTE et de Jeanne VAILLANT), épouse Marie Françoise FLAHAUT, le 20 Février 1776 à ACQUET (fille de Pierre FLAHAUT).
-------------
79 : Marie Françoise FLAHAUT, fille de Pierre FLAHAUT, épouse Jean Louis PLANTE, le 20 Février 1776 à ACQUET (né le 5 Février 1748 à ACQUET, fils de Louis PLANTE et de Jeanne VAILLANT).
-------------
80 : PRUVOST Alexis  fils de PRUVOST Jean et de LOISEL Françoise.
-------------
81 : TIRMARCHE Marie Françoise Justine fille de TIRMARCHE Jean Louis et de THORILLON Marie Françoise
-------------
82 : Jacques François TROGNIEUX, né à VAULX le 20 Janvier 1739, décédé à VAULX le 23 Décembre 1826, fils de Jacques TROGNIEUX et de MarieAnne BULOT), épouse Marie/Anne PETIT, le 10 Septembre 1765 à VAULX (née le 6 Février 1742 à VAULX et décédée le 19 Janvier 1813 à VAULX, fille de JeanFrançois PETIT et de Margueritte CARPENTIER).
-------------
83 : Marie Anne PETIT, née à VAULX le 6 Février 1742, décédée à VAULX le 19 Janvier 1813, fille de Jean François PETIT et de Margueritte CARPENTIER, épouse Jacques Jacques François TROGNIEUX, le 10 Septembre 1765 à VAULX (né le 20 Janvier 1739 à VAULX et décédé le 23 Décembre 1826 à VAULX, fils de Jacques TROGNIEUX et de MarieAnne BULOT).
-------------
88 : Nicolas COSSIN marié à Agnesse BOUTRY
-------------
89 : Agnesse BOUTRY mariée à Nicolas COSSIN
-------------
90 : Charles COSSIN, épouse Henriette GERIN à BERNATRE (décédée le 8 Juin 1829 à BERNATRE).
-------------
91 : Henriette GERIN, décédée à BERNATRE le 8 Juin 1829, épouse Charles COSSIN à BERNATRE.
-------------
96 : Aimé MOURET, décédé à QUOEUX le 26 Avril 1849.
-------------
97 : Providentienne HERNU.
-------------
98 : Joseph PAILLART.
-------------
99 : Désirée PETAIN.
-------------
100: Etienne BALAVOINE marié à Marie Anne Josephe Alexandrine EVRARD
-------------
101: Marie Anne Josephe Alexandrine EVRARD Marié à Etienne BALAVOINE
-------------
104: Valet HUGOT marié à VAUX Pélagie
-------------
105: Pélagie VAUX mariée à HUGOT Valet
-------------
112 : Pierre LANGLOIS, né à AUXY le 13 Septembre 1790, décédé à AUXY LE CHATEAU le 27 Juin 1852, fils de Nicolas LANGLOIS et de Marie DERCOURT, épouse Marie PETIT à AUXY (née le 23 Juillet 1788 à AUXY et décédée le 28 Aout 1841 à AUXY LE CHATEAU, fille de D'Hyacinthe PETIT et de Marie COUVILLERS).
-------------
113 : Marie PETIT, née à AUXY le 23 Juillet 1788, décédée à AUXY LE CHATEAU le 28 Aout 1841, fille de D'Hyacinthe PETIT et de Marie COUVILLERS, épouse Pierre LANGLOIS à AUXY (né le 13 Septembre 1790 à AUXY et décédé le 27 Juin 1852 à AUXY LE CHATEAU, fils de Nicolas LANGLOIS et de Marie DERCOURT).
-------------
114 : Jean PETIT, né à AUXY LE CHATEAU le 30 Décembre 1788, fils de Joseph PETIT, épouse Géraldine TERNISSIEN à AUXY (née le 15 Aout 1791 à AUXY LE CHATEAU, fille de Nicolas TERNISSIEN).
-------------
115 : Géraldine TERNISSIEN, née à AUXY LE CHATEAU le 15 Aout 1791, fille de Nicolas TERNISSIEN, épouse Jean PETIT à AUXY (né le 30 Décembre 1788 à AUXY LE CHATEAU, fils de Joseph PETIT).
-------------
116 : Pierre Messidore CANDAS, né à AUXY LE CHATEAU le 5 Messidor An II, fils de Pierre Joseph CANDAS et de Marie TROGNEUX), épouse Genevieve DECROIX, le 26 Mai 1813 à AUXY (née le 22 Prairial An III à AUXY LE CHATEAU, fille de Antoine/joseph DECROIX).
-------------
117 : Genevieve DECROIX, née à AUXY LE CHATEAU le 22 Prairial An III, fille de Antoine joseph DECROIX, épouse Pierre/Messidore CANDAS, le 26 Mai 1813 à AUXY (né le 5 Messidor An II à AUXY LE CHATEAU, fils de Pierre/Joseph CANDAS et de Marie TROGNEUX).
-------------
118 : CAYEUX Jacques, né à AUXY le 8 juillet 1780,marié à NIVELLE Elisabeth. fils de CAYEUX Pierre et DOMONT  Marie.
-------------
119 : NIVELLE Elisabeth , marié à CAYEUX Jacques
-------------
120 : François CARPON, né à HAMBYE le 1 Janvier 1777, décédé à AUXY LE CHATEAU le 18 Mai 1840, épouse Catherine COUVILLERS (née le 13 Aout 1783 à AUXY LE CHATEAU, fille de LouisFrançois LouisJoseph COUVILLERS et de MarieJeanne GAUDUIN).
-------------
121 : Catherine COUVILLERS, née à AUXY LE CHATEAU le 13 Aout 1783, fille de LouisFrançois LouisJoseph COUVILLERS et de MarieJeanne GAUDUIN), épouse François CARPON (né le 1 Janvier 1777 à HAMBYE et décédé le 18 Mai 1840 à AUXY LE CHATEAU).
Partager cet article
Repost0
4 décembre 2009 5 04 /12 /décembre /2009 18:20

Histoire du département de la Somme

(Région Picardie)

La Somme constitue l'ancienne province de Picardie, province dont le nom a été, pour les étymologistes, le texte de si longues et si stériles dissertations. Les Romains trouvèrent ce territoire occupé par de nombreuses tribus dont ils nous ont transmis les noms ; c'étaient, au nord, les Morini ; à l'ouest, les Ambiani, qui avaient pour capitale Somarobriva, et les Britanni ; les Veromandui, à l'est, et, au sud, les Bellovaci et les Sylvanectenses. Les Ambiani, les Morini et les Bellovaques prirent une large part à la guerre de l'Indépendance sous Vercingétorix ; mais, vaincus comme les autres peuples de la Gaule, ils se soumirent et firent partie de la seconde Belgique.

La résistance des habitants à la domination étrangère leur mérita l'estime des vainqueurs. D'importants privilèges, Marges franchises municipales, de nombreux embellissements dans les villes assurèrent la paix dans le pays jusqu'à l'arrivée des Francs. Clodion est le premier chef qui y pénétra, au commencement du IVe siècle ; c'est à peu près vers la même époque qu'apparaissent aussi les premiers propagateurs de la foi chrétienne, saint Firmin, saint Crépin et saint Crépinien, saint Valère, saint Ruffin, saint Quentin, saint Vaast, saint Valery, saint Ricquier, saint Lucien et les apôtres de l'Église irlandaise.

Leur lutte contre le druidisme et le paganisme romain fut laborieuse et rude ; les traits principaux du caractère picard se retrouvent aussi prononcés, à cette époque, qu'ils se sont maintenus depuis. La ténacité, l'obstination, la fidélité aux vieilles croyances furent de sérieux obstacles à l'établissement de la foi nouvelle. Mais hâtons-nous d'ajouter que la vérité, une fois connue et acceptée, ne trouva nulle part de plus zélés sectateurs ni de défenseurs plus intrépides.

Sous les princes de la première race, la Picardie demeura inféodée au domaine royal ; elle taisait partie de ce qu'on appelait alors la France. Ce fait s'explique quand on se rappelle que, jusqu'à Charlemagne, Soissons fut, à vrai dire, la capitale de la monarchie franque et la résidence la plus habituelle des rois. Sous les successeurs du grand empereur, l'immensité des possessions conquises nécessita la création de comtes ou lieutenants, chargés de gouverner les provinces au nom du souverain, qui en vivait éloigné.

C'est en 823 que nous voyons Louis le Débonnaire abandonner pour la première fois l'administration de la Picardie à un comte. On sait quels furent les rapides envahissements de ces nouveaux pouvoirs, et en combien de lieux et de circonstances ils parvinrent à se rendre indépendants. Grâce à l'inamovibilité des fiefs féodaux, les alliances de famille concentrèrent bientôt entre les mains de quelques seigneurs une puissance rivale de celle des rois. Le développement de ces usurpations remplit toute la seconde race et aboutit au triomphe définitif, au couronnement de la haute féodalité dans la personne des Capet, comtes de Paris.

La Picardie suivit la loi générale. Un Philippe d'Alsace, comte de Flandre, qui avait épousé une comtesse de Vermandois, voulut, après la mort de sa femme, retenir le comté d'Amiens, qui devait retourner à Aliénor, comtesse la Saint-Quentin, soeur cadette de la défunte. L'injustice de cette prétention était si flagrante, et l'ambition du comte Philippe prenait des proportions si menaçantes, que le roi de France crut devoir enfin intervenir ; il ne s'agissait ni de remontrances ni d'arbitrage, c'est une guerre sérieuse qu'il fallut entreprendre pour réduire l'ambitieux vassal ; et encore une dernière satisfaction lui fut-elle donnée par le traité de paix qui intervint . il fut convenu que le beau-frère et la belle-soeur jouiraient successivement de la province en litige, et qu'après leur mort elle appartiendrait à la, couronne.

Partager cet article
Repost0
13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 15:56

Légumes et fruits
Les activités maraîchères sont encore pratiquées, tout le long de la Somme et notamment dans la terre noire des Hortillonnages, marais drainés dès l’époque gallo-romaine. Aujourd’hui ces jardins entourés d’eau s’étendent encore sur plus de 300 hectares au cœur d’Amiens. Mais les maraîchers qui étaient 900 au début du siècle ne sont plus que 9. Tous les jeudis et samedis matin, ils proposent leurs fruits et légumes au "marché sur l’eau", le long de la Somme, au pied de la cathédrale. Plusieurs productions du département ont acquis une réputation nationale :

La carotte de Saint-Valery-sur-Somme
D’une saveur exceptionnelle, elle se maintient longtemps après son arrachage. C’est une grosse carotte bien droite qui pousse dans les terres sableuses de Pendé et Saint-Valery-sur-Somme. Elle est réputée dès la fin du siècle dernier pour sa chair tendre et douce.

Le cresson de Fontaine de Bresles
Deux variétés sont cultivées dans les 9 cressonières de Bresles, une d’été à petites feuilles, l’autre d’hiver à larges feuilles. Cette plante croquante, au goût légèrement poivré, est appréciée depuis le XVIIème, mais c’est surtout au XIXème siècle que sa culture se développe, selon des méthodes venues d’Allemagne. Les semis se font en mars et juillet et le cresson est coupé régulièrement tous les 18 jours.

L’endive du Ponthieu et du Santerre
La Somme produit 50 000 tonnes de ces légumes sur une production totale française de 70 000 tonnes. L’endive n’est autre que la racine de la chicorée dont la culture est forcée dans l’obscurité. "Inventée" au siècle dernier en Belgique, sa culture s’est répandue dans la Somme dans l’entre-deux-guerres.

Le crosne du Marquenterre
Ce légume est un petit tubercule de la grande famille des labiées. Originaire de Chine et du Japon, il est cultivé dans les terres sablonneuses du Domaine du Marquenterre depuis quelques années. De saveur délicate, rappelant un peu le goût de la châtaigne, il accompagne les viandes rôties.

La salicorne de la Baie de Somme
Cette plante, appelée aussi passe-pierre, n’est pas cultivée. Elle pousse dans les prés salés, recouverts par la mer lors des fortes marées. Elle est récoltée de la fin mai à la fin septembre, entre le Hourdel et Saint-Valery-sur-Somme, au sud de la Baie de Somme, par des "pêcheurs à pied". Elle est mise en bocal, dans le vinaigre, pour servir de condiment. Très riche en sels minéraux, elle est aussi vendue pour être consommée crue en salade, ou cuite en légume d’accompagnement de la viande ou du poisson.

La rhubarbe d’Abbeville
Originaire de Chine et de Mongolie, la rhubarbe a été acclimatée en Europe par les Anglais, à la fin du XVIIIème siècle. Sa culture se développe au XIXème siècle à Abbeville notamment. Aujourd’hui elle y est cultivée sur plus de 5 hectares par une dizaine d’agriculteurs regroupés en coopérative et, dans les environs, par de petits producteurs. Elle est transformée en boisson et en confiture. Elle est aussi vendue sur les marchés : compotes et tarte à la rhubarbe sont des desserts de choix au printemps !

Les pommes du Vimeu et de l’Amiénois
Comme dans la Normandie voisine, les pommiers, dans la Somme, étaient traditionnellement plantés dans des pâturages. La pomme y est cultivée à la fois pour le cidre et pour le dessert. Au début du siècle, on mentionne à Abbeville plusieurs fabriques qui produisent chaque année plus d’un million de kilos de compotes et confitures de pomme. Dans le Vimeu, la variété traditionnelle est la "tête de chat". Dans l’Amiénois, on cultive la "reinette fardel" et la "jacques lebel".

Partager cet article
Repost0
5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 16:00

Pain
Les plateaux surplombant la vallée de Somme ont été de riches terres à blé, depuis l’introduction du marnage par les Celtes. Le pain de "tradition picarde" contient 35 % d’épeautre, céréale appréciée depuis fort longtemps, à l’égal du froment. Parmentier affirmait que le pain d’épeautre est "extraordinairement blanc, léger et d’une digestion facile".

Flamiche et Bisteu
Ou "flamique" en picard est un plat typique du Santerre. C’est une tourte, généralement aux poireaux. Dans le Ponthieu, point de poireaux! On y met des pommes de terre et du lard, c’est le "bisteu". bisteu ou Bigalan. Mais on en confectionne aussi aux oignons ou au potiron.
Flamiche aux poireaux

La ficelle picarde
C'est un plat beaucoup plus récent : une fine crêpe salée est roulée autour d’une tranche de jambon contenant un émincé de champignon. Le tout est gratiné dans une sauce crémée.

Partager cet article
Repost0
4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 18:58

Balade gourmande en pays picard

À l'ombre des cathédrales, la Picardie respire un air frais et doux. C'est un pays marin sans être maritime, c'est un pays étale sans être plat. C'est un pays paisible et infiniment agreste. Deux Picardie s'imbriquent imperceptiblement. Au sud et à l'est d'une ligne Laon-Senlis, les plateaux agricoles creusés de vallées étonnantes, verdoyantes, giboyeuses - des terroirs d'écrivains, contrastent avec les puissants massifs forestiers du Valois et du Laonnois. La gastronomie picarde est traditionnelle, familiale et simple, une bonne cuisine paysanne riche enracinée dans le terroir, à base de soupes et de fricassées (ragoûts à base de légumes), enrichie par les produits de la mer, de rivières, d'élevage.

La Somme est un jardin potager inouï, depuis longtemps un haut lieu du maraîchage avec les hortillonnages d’Amiens et de Péronne. La vallée de la Somme fut rendue célèbre par la bataille qui s’y tint durant la première guerre mondiale. Elle tire son nom du fleuve qui, par ses multiples méandres, a engendré des centaines de lacs tout au long de son parcours.

D’Amiens (ville où a été construite la plus grande cathédrale gothique du monde) à Abbeville (notable Collégiale St-Vulfran) la vallée a su préserver son environnement naturel et un indéniable charme.

La découverte de la région s'effectue en goûtant les fruits de la mer (crevettes grises, hénons, moules de bouchot,.), les passe-pierres, la ficelle picarde, la flamiche aux poireaux, les harengs marinés à l'Abbevilloise, le lapin aux pruneaux, l'agneau de pré salé sans oublier le traditionnel gâteau battu et les macarons. Regardons quelques spécialités à la loupe:  a demain ....

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 15:47

BARROIS :

 

ORIGINE DU NOM : Assez fréquent dans la Marne et le Nord-Pas-de-Calais, désigne celui qui est originaire du Barrois (région de Bar-le-Duc).

 

On trouve des BARROIS à : A ARQUES, RACQUINGHEM, BLENDECQUES et à INGHEM

 

ARQUES :

Nichée dans un coin du Parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, la ville d'Arques offre un cadre de vie des plus agréables, où la nature est omniprésente (forêt, parcs, étangs, rivières...). La conquête romaine menée par César au début de notre ère a pour conséquence la pacification des habitants de la Morinie, région réputée pour ses nombreux marécages et ses immenses forêts. Arkes, notée sur des plans du 9ème siècle est alors traversée par une voie romaine allant de Thérouanne à la mer. Terre humide et à forte déclivité, Arkes devient en 530 la propriété de la comtesse Mathilde, arrière petite fille de Flandebert, chefs des Morins et des Ménapiens. Walbert, arrière petit-fils de Mathilde et comte d'Arkes, dresse sur les conseils des abbés Omer et Bertin une église dédiée à Saint Martin et à proximité de son château en 646.

Après un accident de cheval où il manque de perdre la vie, Walbert, guéri grâce à un breuvage donné par Bertin, donne le comté d'Arkes à ce dernier et à ses moines. Il entre ensuite au monastère.
L'abbé Odland fait creuser en 797 le bras supérieur de l'Aa, de Blendecques à Arques, afin d'actionner un moulin installé devant le château, alors occupé régulièrement par les moines. De l'abbaye de St Bertin, ils font alors régner l'ordre sur les différents hameaux que regroupe Arques.

Après l'assassinat de l'abbé Foulques, les Comtes de Flandres s'emparent de St Bertin et de son territoire. C'est ainsi que Beaudouin V fait construire un fossé de la Lys aux marais de Saint-Omer pour servir de défense contre les Français entre 1054 et 1092. Les comtes de Flandres, de manière progressive, redonnent aux religieux de St Bertin par une série d'oboles les territoires d'Arques précédemment appropriés.

Lors de la guerre de 100 ans, la ville est pillée en 1340 par l'armée anglo-flamande assiégeant Saint-Omer et commandée par Robert d'Artois. Les anglais reviennent mettre la ville à sac en 1346, 1369 et 1435. Du point de vue économique, en 1363, Saint-Omer et Arques se querellent à propos de la fabrication des draps. Saint-Omer est la ville désignée pour la production officielle de ce genre d'articles. Or, à Arques, d'autres drapiers sont accusés de faire des contrefaçons afin de nuire aux artisans de Saint-Omer. Malgré des réglementations strictes, les fausses productions se poursuivent. Certains artisans audomarois viennent alors casser les métiers à tisser arquois.

Louis XI brûle la ville suite au siège infructueux de Saint-Omer en 1477. En 1643, l'Espagne qui détient la Flandre possède aussi les villes d'Aire, de Saint-Omer et leurs alentours, formant ce qu'on a appelé "l'Artois réservé". Lors du traité de Nimègue, en 1678
, l'ensemble de l'Artois revient à la France.

Le canal de Neufossé est construit sur les décisions de
Vauban, pour relier la Lys à l'Aa, en 1756. Le nom de Neufossé vient du fait que son tracé utilise en partie l'ancien fossé creusé au 11ème siècle. Toutefois, une déclivité brutale de 13,13 m empêche toute navigation au lieu dit des "Fontinettes" : c'est la raison pour laquelle une série de 7 écluses en palier est construite.

La ville regroupe plusieurs hameaux disséminés. Son développement économique est lent mais certain. La présence du canal favorise de plus en plus les échanges commerciaux et Arques en profite. Les deux bras de l'Aa sont utilisés pour la production d'énergie hydraulique, pour la fabrication de bière et de genièvre. La révolution industrielle touche Arques vers le milieu du 19ème siècle. Deux filatures de lin et de jute s'y installent, deux distilleries, plusieurs carrières en divers endroits sont ouvertes pour recueillir sable, gravier, silex... Des fabriques de tuiles (Pannes) et de briques s'installent aussi, de même qu'une verrerie à bouteilles (Barrez), une verrerie-cristallerie (Avot / Durand) et une papeterie. L'exploitation de la forêt de Rihoult autorise la présence de nombreux bûcherons dans les hameaux du Haut-Arques et de Malhôve.

En 1889
, devant l'augmentation de la taille des péniches et l'importance du trafic sur le canal qui oblige l'instauration de jours fixes pour la montée et la descente des écluses, un ascenseur à bateaux fonctionnant sur le principe d'une balance hydraulique est édifié. Il représente encore aujourd'hui un monument unique, témoin du génie industriel de la fin du 19ème siècle.

Située à mi-chemin de la zone du front et des côtes où débarquent les soldats alliés, Arques est pendant la première guerre mondiale une ville étape mais aussi stratégique. Plus de 100.000 militaires cantonnent dans la ville qui subit de nombreux bombardements
entre 1914 et 1918.

Après guerre, l'économie se redresse et de nouvelles entreprises s'implantent, comme un laboratoire de produits pharmaceutiques, une nouvelle papeterie... Plus de 5.000 habitants sont recensés. En 1936 et 1937
, des mouvements ouvriers apparaissent dans le contexte agité du Front Populaire. Des défilés imposants sont organisés dans les rues et les gardes mobiles doivent intervenir, tant à la verrerie à bouteilles qu'à la verrerie-cristallerie.

Durant la seconde guerre mondiale, une piste d'aviation est créée dans le Haut-Arques par l'armée allemande. Plusieurs bombardements ont lieu.
Du 3 au 5 septembre 1944
, un régiment polonais libère la ville.

L'après-guerre voit se développer de manière considérable la verrerie-cristallerie qui contribue à faire connaître la ville dans le monde entier. Les autres entreprises familiales comme les distilleries, les brasseries ou la filature périclitent et disparaissent au cours des
années 50.

BLENDECQUES

 

De nombreuses trouvailles dans le sol "semblent" confirmer l'origine reculée de ce village. er l'origine reculée de ce village.
Blendeka en 1139, Blendecques en 1296, Blendecques en 1423. On trouve aussi "Blandèque" au cadastre de 1811.

Blendecques
est un nom gallo-romain et son prototype est Blandiacum qui signifie un nom de domaine : Blendecques est à coup sûr le domaine de Blandius, nom d'homme, qui a fourni aussi tous les Blangy que l'on trouve en France. La terminaison -ecques s'explique par le fait qu'entre le VIème et le IXème siècle, le nom a subi une influence germanique et qu'il n'a pas évolué, comme ses homologues en milieu roman. De nombreux exemples locaux viennent corroborer ce fait, ainsi Coyecques, Hézecques, Warnecques, Arneke qui participent du même processus de formation toponymique. C'est d'ailleurs ce que pressentait le vieux Louis Ricouart sans être assuré de sa proposition. Les découvertes archéologiques
récentes vont d'ailleurs dans ce sens.

L'origine se lie à Saint-Omer par une donation que fait Adroald, Seigneur de Sithoie à Audomare, évêque de Thérouanne vers 648. Cette commune commença a être connue vers la fin du XIIème siècle par la fondation de l'Abbaye Sainte-Colombe. Cette abbaye Cistercienne fondée en 1186 par une branche de la famille des châtelains d'Aire en reçut la seigneurie.

Blendecques
comptaient 373 habitants en 1698, 985 au début de la révolution et 4014 au recensement de 1962.
Le hameau de Wins aurait été le théâtre d'une attaque infructueuse des Normands au IXème siècle. En 891, Saint-Omer fut attaquée par les Normands, vigoureusement poursuivis par les moines de Saint-Bertin et les habitants de Saint-Omer. Les Normands furent massacrés à Wins
.

Au début du XIème siècle, une épidémie cruelle du "mal des Ardents" ou feu Saint-Antoine désole la région. En 1303, Blendecques souffre des incursions flamandes. Après le traité d'Arras de 1435, les troupes anglaises du Duc de Glocester dévastent la vallée de l'Aa. En 1537, les habitants se retirent à Saint-Omer. Avec le Comte de Reulx, au service de l'Espagne, la paix revient par le traité de Vervins, en 1598. D'autres vicissitudes se terminent le 5 mars 1677 avec la célèbre bataille de Cassel du Duc d'Orléans.

Etymologiquement, outre ce qui est dit ci-dessus, Ricouart, dans ses études sur les noms des lieudits, pense que Blandeke ou Blandiacum signifiait "l'agréable domaine ou la villa de Blandius". Une étude plus récente affirmerait que Blandiacum veut dire "village fort agréable".

Dans un Terrier commencé vraisemblablement au milieu du XVIIème siècle, que de lieudits, que de noms de chemins ont disparu ou sont presque inconnus. Au début du XIIIème siècle, il y avait à Blendecques, trois églises. L'Eglise paroissiale, l'Eglise de l'Abbaye et l'Eglise de Soyecques qui servait à l'usage des domestiques de l'Abbaye. Le Terrier permet de situer l'emplacement de cette église édifiée sur une terre nommée "églisette de Soyecques" dans laquelle, par tradition "était autrefois une église et cimetière" commune aux deux paroisses de Blendecq. L'eau d'une source de Ste Soyecques guérissait les enfants atteints d'eczéma.

L'ancienne Abbaye ou Abbaye des Dames de Sainte-Colombe fut fondée en 1182 par Ghison d'Aire. Le monastère reconstruit en 1640 fut démoli en 1792, sauf le quartier abbatial qui constitue encore de nos jours une demeure particulière. Le blason de l'Abbaye portait une colombe d'argent avec crosse d'or, sur un champ d'or et de sable.
Pendant la guerre 1939/1945, l'église a souffert fortement des bombardements aériens et sa restauration a été décidée par la municipalité. La créance dommages de guerre s'est avérée insuffisante pour couvrir les frais de réfection. Aussi, le Conseil Municipal, à partir de 1956 a-t-il investi d'importants capitaux.

 

RACQUINGHEM : Village du Pas de Calais, de l’arrondissement de Saint Omer environ 2300 habitants, La commune est située sur le bord du canal de Noeufossé qui fait la frontière entre le nord et le pas de calais. Il est probable que la commune ait connue une occupation préhistorique, avant une période mal connue conclue par la soumission à l'empire romain il y a environ 2000 ans (Guerre des gaules).
Divers conflits ont depuis concerné la commune, dont aux environ du milieu de l'an 1000 la guerre entre le
comte de Flandre (Baudouin le Pieux) et l’empereur Henri III, qui s'est pour partie cristallisée entre Arques et Aire-sur-la-Lys, sur la frontière artificielle créée à cette occasion par le creusement d'un canal défensif dit Neuf-Fossé, qui deviendra le Canal de Noeufossé.

INGHEM :

Village du Pas de Calais, de l’arrondissement de Saint Omer er du canton d’Aire sur la Lys. 360 habitants

Partager cet article
Repost0
30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 14:19
35 : Marie Christine CREPIN, née à MAREUIL le 22 Messidor An V, fille de Jean CREPIN et de Marie TRIBOULET), épouse JeanBaptiste HALATRE, le 7 Mai 1826 à MAREUIL (né le 18 Nivôse An V à MAREUIL, fils de Pierre HALATRE et de Marie DELEUZE).
-------------
36
-------------
37
-------------
38 : François BARRE, né à GUESCHART le 21 Janvier 1790, fils de Jean/Baptiste BARRE et de Genevieve DUFFOSSE), épouse en (1°) XXX LEGER, le 18 Décembre 1813 à GUESCHART,  en (2°) Marie PLANTE, le 19 Mars 1824 à ACQUET (née le 5 Mai 1786 à ACQUET, fille de Jean/Louis PLANTE et de Marie/Françoise FLAHAUT).
-------------
39 : Marie PLANTE, née à ACQUET le 5 Mai 1786, fille de Jean/Louis PLANTE et de Marie/Françoise FLAHAUT), épouse en (1°) Nicolas PETIT, le 1 Janvier 1815 à ACQUET,  en (2°) François BARRE, le 19 Mars 1824 à ACQUET (né le 21 Janvier 1790 à GUESCHART, fils de Jean/Baptiste BARRE et de Genevieve DUFFOSSE).
-------------
40 : Antoine PRUVOST, épouse Rose TROGNIEUX née le 30 Aout 1777 à VAULX, fille de Jacques François TROGNIEUX et de Marie Anne PETIT).
-------------
41 : Rose TROGNIEUX, née à VAULX le 30 Aout 1777, fille de Jacques Jacques François TROGNIEUX et de Marie/Anne PETIT), épouse Antoine PRUVOST.
-------------
42
------------
43
------------
44 : Jean/François COSSIN, né à HIERMONT le 2 Pluviôse An X, fils de Nicolas COSSIN et de Agnesse BOUTRY, épouse Augustine COSSIN, le 20 Juillet 1830 à 20/07/1830 (née le 20 Messidor An VII à BERNATRE, fille de Charles COSSIN et de Henriette GERIN).
-------------
45 : Augustine COSSIN, née à BERNATRE le 20 Messidor An VII, fille de Charles COSSIN et de Henriette GERIN, épouse Jean/François COSSIN, le 20 Juillet 1830 à 20/07/1830 (né le 2 Pluviôse An X à HIERMONT, fils de Nicolas COSSIN et de Agnesse BOUTRY).
-------------
46 : BEHEN Pierre François ménager, marié à HERMANT Fleurine.
-------------
47 : HERMANT Fleurine: mariée à BEHEN Pierre François
-------------
48 : Pierre François MOURET, né à QUOEUX le 12 Janvier 1830, fils de Aimé MOURET et de Providentienne HERNU, épouse Céline PAILLART, le 30 Juin 1851 à QUOEUX (fille de Joseph PAILLART et de Désirée PETAIN).
-------------
49 : Céline PAILLART, fille de Joseph PAILLART et de Désirée PETAIN), épouse PierreFrançois MOURET, le 30 Juin 1851 à QUOEUX (né le 12 Janvier 1830 à QUOEUX, fils de Aimé MOURET et de Providentienne HERNU).
-------------
50 : Louis Eustache BALAVOINE, né à QUOEUX le 1 Juillet 1810, épouse MarieAnne MALLARD.
-------------
51 : Marie Anne MALLARD, épouse Louis Eustache BALAVOINE (né le 1 Juillet 1810 à QUOEUX).
-------------
52 : Casimir HUGO:né le 5 mars 1780 à Haravesnes,fils de HUGOT Valet et de Pélagie Vaux marié à Guyot Mathilde.
-------------
53  Mathilde GUYOT : mariée à Casimir HUGO.
-------------
54  ?????????????
-------------
55  ?????????????
------------
56 : François/Marie LANGLOIS, né à AUXY LE CHATEAU le 28 Aout 1814, décédé à AUXY LE CHATEAU le 2 Juillet 1852, fils de Pierre LANGLOIS et de Marie PETIT, épouse Catherine PETIT, le 19 Juillet 1842 à AUXY LE CHATEAU (née le 30 Janvier 1817, fille de Jean PETIT et de Géraldine TERNISSIEN).
-------------
57 : Catherine PETIT, née le 30 Janvier 1817, fille de Jean PETIT et de Géraldine TERNISSIEN, épouse François/Marie LANGLOIS, le 19 Juillet 1842 à AUXY LE CHATEAU (né le 28 Aout 1814 à AUXY LE CHATEAU et décédé le 2 Juillet 1852 à AUXY LE CHATEAU, fils de Pierre LANGLOIS et de Marie PETIT).
-------------
58 : François Théodore CANDAS, né le 24 Juin 1814, fils de Pierre Messidore CANDAS et de Genevieve DECROIX, épouse Bassilisse CAYEUX.
-------------
59 : Bassilisse CAYEUX, épouse François Théodore CANDAS (né le 24 Juin 1814, fils de Pierre Messidore CANDAS et de Genevieve DECROIX).
-------------
60 : François Procoppe CARPON, né à AUXY LE CHATEAU le 1 Germinal An IX, décédé à AUXY LE CHATEAU le 14 Novembre 1869, fils de François CARPON et de Catherine COUVILLERS), épouse Emilie POIRE, le 19 Février 1828 (née le 22 Messidor An XIII à WAVANT et décédée le 8 Aout 1871, fille de Charles POIRE et de Pélagie CROISELLE).
-------------
61 : Emilie POIRE, née à WAVANT le 22 Messidor An XIII, décédée le 8 Aout 1871, fille de Charles POIRE et de Pélagie CROISELLE, épouse François Procoppe CARPON, le 19 Février 1828 (né le 1 Germinal An IX à AUXY LE CHATEAU et décédé le 14 Novembre 1869 à AUXY LE CHATEAU, fils de François CARPON et de Catherine COUVILLERS).
-------------
62 : Pierre Louis BOURDON. né le 15 avril 1799 à BLENDECQUES Journalier, fils de BOURDON Pierre et de BARROIS Marie Thérése.Marié à Jansoone Virginie le 23 avril 1832 à Saint OMER.
-------------
63 : Virginie JANSOONE. Née le 14 avril 1812 à BERGUES , fille de JANSOONE Jean Alexandre et de BECQUET Catherine Joséphine. Mariée à Pierre Louis Bourdon le 23 avril 1832 à Saint OMER.
-------------
64 : PRUDHOMME Jean Charles: né à Mareuil le 3 mars 1745,Décédé à ABBEVILLE le 2 septembre 1814, marié à DALLON Marie Anne.
-------------
65 : DALLON Marie Anne mariée à PRUDHOMME Jean Charles, décédée le 29 mai 1795
-------------
66 : XXXXX inconnu.
-------------
67 : Marie Anne LAMY. née le 26 juin 1761 à Epagne Epagnette fille de LAMY Martin et de BELLOURD Marie Anne.
Partager cet article
Repost0
8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 18:45
Le Pays du Ternois en Artois, avec le bourg d’AUXY le Château, c’est là que maman Suzanne est née un certain 8 septembre 1928. AUXY ancienne capitale de la chaussure, là ou passe la rivière Authie, celle qui se jette à … Berck
Partager cet article
Repost0
7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 11:12
16 : Antoine PRUDHOMME, né à ABBEVILLE le 13 Avril 1830, fils de Antoine/Jean PRUDHOMME et de Françoise LAMY), épouse Catherine HALATRE à abbeville (née le 1 Juin 1829 à MAREUIL et décédée le 4 Septembre 1880 à ABBEVILLE, fille de JeanBaptiste HALATRE et de MarieChristine CREPIN).
-------------
17 : Catherine HALATRE, née à MAREUIL le 1 Juin 1829, décédée à ABBEVILLE le 4 Septembre 1880, fille de Jean Baptiste HALATRE et de Marie Christine CREPIN, épouse Antoine PRUDHOMME à Abbeville (né le 13 Avril 1830 à ABBEVILLE, fils de Antoine Jean PRUDHOMME et de Françoise LAMY).
-------------
18 : Pierre DIMPRE. marié à BARRE Marie le 3 aout 1858 à Neuilly le Dien.
-------------
19 : Marie BARRE, née à ACQUET le 15 Aout 1827, fille de François BARRE et de Marie PLANTE).
(Notes : Naissance à Acquet mais enregistré comme tous les actes dans la mairie de Neuilly le Dien commune de la Somme du Canton de Crecy en Ponthieu)marié à Pierre DIMPRE le 3 aout 1858 à Neuilly le Dien.
-------------
20 : Jacques Nicolas PRUVOST, né à VAULX le 20 Juillet 1817, fils de Antoine PRUVOST et de Rose TROGNIEUX), épouse Mathilde DELENRY à VAULX.
-------------
21 : Mathilde DELENRY,née à VAULX le vendredi 17 mars 1833, épouse Jacques Nicolas PRUVOST à VAULX (né le 20 Juillet 1817 à VAULX, fils de Antoine PRUVOST et de Rose TROGNIEUX).
-------------
22 : Etienne COSSIN, né le 31 Octobre 1833, fils de Jean François COSSIN et de Augustine COSSIN.
-------------
23 : Adélaide BEHEM. née le 2 juin 1835 à Neuilly le dien.
-------------
24 : François MOURET, né à QUOEUX le 24 Avril 1851, décédé le 2 Juin 1891, fils de PierreFrançois MOURET et de Céline PAILLART), épouse Marie BALAVOINE, le 16 Mai 1871 à QUOEUX (née le 18 Février 1848 à QUOEUX, fille de LouisEustache BALAVOINE et de MarieAnne MALLARD).
-------------
25 : Marie BALAVOINE, née à QUOEUX le 18 Février 1848, fille de LouisEustache BALAVOINE et de MarieAnne MALLARD, épouse François MOURET, le 16 Mai 1871 à QUOEUX (né le 24 Avril 1851 à QUOEUX et décédé le 2 Juin 1891, fils de PierreFrançois MOURET et de Céline PAILLART).
-------------
26 : Aubin HUGOT, né à HARAVESNES le 1 Mars 1822, épouse Apauline REVEILLON.
-------------
27 : Apauline REVEILLON, épouse de Aubin Lescat HUGOT né le 1 Mars 1822 à HARAVESNES, fils de Casimir HUGOT et de Mathilde GUYOT).
-------------
28 : Joachim LANGLOIS, né à AUXY le 19 Février 1843, décédé à AUXY LE CHATEAU le 3 Novembre 1884, fils de François/Marie LANGLOIS et de Catherine PETIT, épouse Joséphine CANDAS à AUXY (née le 16 Juillet 1846 à AUXY, fille de François/Théodore CANDAS et de Bassilisse CAYEUX).
-------------
29 : Joséphine CANDAS, née à AUXY le 16 Juillet 1846, fille de François Théodore CANDAS et de Bassilisse CAYEUX, épouse Joachim LANGLOIS à AUXY (né le 19 Février 1843 à AUXY et décédé le 3 Novembre 1884 à AUXY LE CHATEAU, fils de François/Marie LANGLOIS et de Catherine PETIT).
-------------
30 : Pierre François CARPON, né à WAVANT le 18 Novembre 1833, décédé à AUXY LE CHATEAU le 29 Mars 1884, fils de FrançoisProcoppe CARPON et de Emilie POIRE), épouse Virginie BOURDON à AUXY (née le 28 Novembre 1837, fille de PierreLouis BOURDON et de Virginie GEANSSOINNES).
-------------
31 : Virginie BOURDON, née le 28 Novembre 1837, fille de PierreLouis BOURDON et de Virginie GEANSSOINNES), épouse PierreFrançois CARPON à AUXY (né le 18 Novembre 1833 à WAVANT et décédé le 29 Mars 1884 à AUXY LE CHATEAU, fils de FrançoisProcoppe CARPON et de Emilie POIRE).
-------------
32 : Antoine Jean PRUDHOMME, épouse Françoise LAMY, le 31 Octobre 1829 à ABBEVILLE (née le 20 Aout 1790, fille de XXXXX inconnu et de Marie/Anne LAMY).
-------------
33 : Françoise LAMY, née le 20 Aout 1790, fille de XXXXX inconnu et de Marie/Anne LAMY), épouse Antoine/Jean PRUDHOMME, le 31 Octobre 1829 à ABBEVILLE.
-------------
34 : Jean Baptiste HALATRE, né à MAREUIL le 18 Nivôse An V, fils de Pierre HALATRE et de Marie DELEUZE), épouse MarieChristine CREPIN, le 7 Mai 1826 à MAREUIL (née le 22 Messidor An V à MAREUIL, fille de Jean CREPIN et de Marie TRIBOULET).
-------------
35 : Marie Christine CREPIN, née à MAREUIL le 22 Messidor An V, fille de Jean CREPIN et de Marie TRIBOULET), épouse JeanBaptiste HALATRE, le 7 Mai 1826 à MAREUIL (né le 18 Nivôse An V à MAREUIL, fils de Pierre HALATRE et de Marie DELEUZE).
-------------
Partager cet article
Repost0